1. Le pari


    Datte: 16/11/2017, Catégories: fh, fhh, extraoffre, inconnu, hépilé, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation rasage, Oral 69, pénétratio, fsodo, init, ecriv_c,

    ... était douce. Au comptoir, nous sommes restés debout et avons commandé deux cocktails. Venant pour la première fois dans un tel lieu, nous n’avons cessé de regarder et d’observer les différents couples et personnes qui s’y trouvaient. Caroline m’a avoué que son sexe était complètement trempé et qu’elle sentait sa mouille couler un peu le long de ses jambes. Mon sexe ne débandait pas, cela faisait sourire Caroline. À un moment, Caroline a sursauté. Come je l’interrogeais du regard, elle se pencha à mon oreille pour me dire qu’une main étrangère lui caressait les fesses sur sa robe. Un peu partout autour de nous, des couples se collaient et des mains exploraient les corps. J’ai souri à Caroline et je lui ai dit que ce n’était pas très grave, l’endroit voulait ça. Elle semblait gênée mais excitée. L’homme qui lui caressait les fesses avait dans les quarante ans et, voyant que je disais rien, il a entamé la conversation le plus naturellement du monde en continuant à caresser les fesses de Caroline. C’était un habitué des lieux, la conversation a été très cordiale, il voulait savoir si c’était la première fois et ce qu’on venait chercher. Tout en discutant, sa main avait remonté la robe de Caroline, ses doigts passaient directement sur ses fesses et les personnes aux alentours pouvaient voir les fesses de ma femme. Caroline m’a soufflé dans l’oreille que ses doigts étaient au bord de son sexe trempé et qu’elle ne voulait pas aller plus loin. À peine m’avait elle dit cela qu’elle ...
    ... sursauta et ferma les yeux en soupirant. L’homme avait glissé un doigt dans la fente de Caroline et il la caressait avec finesse. — Ce n’est pas ce qui était prévu, on devait juste faire l’amour en public… Je ne veux pas qu’il me fasse jouir… Caroline me rappela notre pari, et j’expliquai à notre hôte que nous n’étions pas là pour cela mais que, s’il voulait, il pouvait nous accompagner dans une alcôve pour nous voir baiser. L’homme accepta avec le sourire. Bras dessus bras dessous, Caroline et moi sommes entrés dans une alcôve où il y avait déjà un couple qui faisait l’amour. À côté d’eux, trois hommes étaient nus et se masturbaient en les regardant. Caroline et moi étions très excités ; à peine sa robe avait elle quitté son corps qu’elle m’arrachait ma chemise et mon pantalon. Nus, collés l’un à l’autre, nous n’avions plus d’appréhension, nous nous embrassions avec fougue et nos mains fouillaient le corps de l’autre. Nous avions soif de sexe et j’encourageai Caroline à se donner à fond, à se montrer, à être impudique au possible. Ses dernières inhibitions avaient sauté, elle se sentait salope, très salope… Couchée sur le dos, elle écartait bien les jambes pour montrer son sexe épilé, je n’eus aucun mal à glisser mon sexe dans le sien. Chaque fois que je la pénétrais elle disait à haute voix qu’elle sentait bien ma bite, qu’elle aimait se faire fourrer comme une chienne. Je ne voulais pas jouir dans sa fente, je voulais qu’elle montre à nos spectateurs comme elle me suçait ...