1. Visite du Centre Historique


    Datte: 16/11/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Dans la Gazette de Montpellier, ils annonçaient cette sortie. Nocturne, qu'ils disaient. Vingt heures. C'est pas bon, ça, vingt heures. C'est pile l'heure du souper. Alors nombreux sont ceux qui renoncent à cette visite du centre historique vu qu'à cette heure-là, ils ont prévu de dîner. Normal, non ? Moi, les visites organisées par le syndicat d'initiative de Montpellier, je raffole... Tout est bien. D'abord les trois gonzesses qui sévissent au dit syndicat d'initiative sont, chacune dans leur style, pinox. Pinox, en occitan, l'occitan c'est la langue qu'on cause ici à Mounpellier, ça signifie pine au cul mettable. La brune, grande sportive déguingandée, toujours en jupe courte pour exhiber ses cuisses de reinette, sourire avenant et cul cambré. La blonde, petit 85B mignon, menton haut levé dessus ses petits nibars de compète, yeux bleus des mers du sud et sourire chaleureux de hamac et de soleil. La rousse, vous doutiez bien qu'il y aurait une rousse, non ? La rousse avait un fessier calypige inouï. Un cul du tonnerre. On l'imaginait le nez dans l'oreiller, les deux fesses ouvertes sur des profondeurs de canyon américain, Grand Colorado ou pire. Descente du fleuve en gonflable chahutés par les rapides. Bite haute. Semi-rigides, rigides, sévèrement rigides. Enfin durs de durs, quoi... J'étais inscrit et me suis pointé, mine de rien, au lieu du rendez-vous, la cour Jacques Cœur, près de la place de la Comédie. Mon idée était simple, repérer un fille, exotique si possible, ...
    ... la lever, la mener à ma tannière, l'y baiser à fond de possibilités et lui chanter Occitanie mi Amor en françouse dans le texte. Histoire de graver dans sa vie sur le granit de ses souvenirs son passage à Montpellier. Les histoires vraies parfois collent aux idées inventées et ce jour-là c'est ce qui s'est produit... La petite Chinoise, cheveux noirs en casque, fine, souriante est venue se coller contre moi. Elle ne comprenait rien aux discours de la rousse qui menait le groupe de cour en cour d'hôtels particuliers. Juste elle se collait contre moi à chaque fois. Et moi je lui souriais À chaque fois. Et ma bite saillante saillait et elle se frottait. On était bien. Elle n'était pas seule mais partie d'un groupe d'entreprise et ne pouvait s'échapper. Leur chef était un petit asiate aux yeux camouflés de paupières fermées. Je suis allé à lui et j'ai dit, ami je connais Yéti, elle est mon amie, alors tar ta gueule à la récré. J'ai pris ma mie par la main et nous avons subrepticement quitté le groupe. À ma chambre, en haut des escaliers tournants elle a tombé ses atours. Culotte soutif chinois. Pas très bandants ma fois. Ses seins étaient assez étonnants, pas gros mais pointus sur le devant avec comme un désir de remonter la pente. Sympas néanmoins, quoi. Des seins sympas qu'on prendrait volontiers entre ses lèvres pour les faire monter. Son cul était bien plus marqué sinoin. Fesses lourdes larges solides, glabres et douces au toucher avec un entre-deux profond velu mouillé. Mes ...
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