1. Sexe, scandale et soumission (1)


    Datte: 16/11/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Hitler vouait un amour obsessionnel pour sa nièce. — C’est juste. Y a-t-il autre chose que vous avez retenu ? — Oui : Hitler rendait les Juifs responsables de tous les malheurs de l’Allemagne après la signature du traité de Versailles. — C’est juste aussi. Quelqu’un peut-il me dire pourquoi Adolf Hitler croyait en cette idée d’une hiérarchie des races ? À nouveau, plusieurs mains se levèrent dans la salle. Cette fois, Djamila donna la parole à une jeune femme brune. — Oui, Sophie ? — Hitler était fasciné par les mythes et les légendes germaniques et rêvait d’une Allemagne qui retrouverait les valeurs véhiculées par ces légendes. — C’est tout à fait juste. Et pouvez-vous me dire comment Adolf Hitler s’est pris pour convaincre le peuple allemand de l’époque d’adhérer à son idéologie ? — Il a prononcé de nombreux discours dans les brasseries de Munich et écrit « Mein Kampf » lors de son incarcération en 1923 dans la prison de Landsberg. — C’est exact. Pour la suite du cours, nous allons regarder le premier épisode de « Nazis, de l’ascension à la chute » et nous en ferons un débat. Djamila lança la vidéo. Au bout d’une heure, le long-métrage toucha à sa fin et la jeune femme posa la question qui serait sujette au débat. Les étudiants se donnèrent à coeur joie d’échanger leurs points de vue puis Djamila finit par mettre fin au cours en leur exprimant ses recommandations. — Le cours arrivant bientôt au bout, je vous recommande de regarder le second volet de « Nazis, de ...
    ... l’ascension à la chute » et nous en débattrons au prochain cours. Tandis qu’elle finissait de ranger son matériel et le bureau et que la majorité des élèves était sortie de la salle, Djamila vit trois jeunes hommes dans la vingtaine devant son bureau. Pensant qu’il s’agissait d’étudiants un peu timides qui souhaitaient lui poser une question, elle leur demanda en quoi elle pouvait les aider. — En réalité, ce n’est pas vraiment en rapport avec le cours mais autre chose. — Je vous écoute. — Paul fête son anniversaire ce soir et nous souhaiterions vous inviter à cette soirée. Djamila fut surprise de se voir invitée par des jeunes gens ayant presque quinze ans de moins qu’elle. Bien que l’idée de s’amuser un vendredi soir ne fût pas une mauvaise idée, elle voulut décliner poliment l’invitation en expliquant qu’il n’était pas très indiqué pour une enseignante de faire la fête avec ses étudiants, même en dehors des heures de cours. — Je suis très touchée que vous ayez pensé à m’inviter mais vous ne seriez pas plus à l’aise avec d’autres étudiants pour fêter un anniversaire ? — Non, nous serons en petit comité ce soir. L’idée est simplement d’aller boire un verre quelque part et de rentrer dîner vers vingt heures. Comme nous vous apprécions beaucoup et que vous êtes un peu plus âgée que nous, il n’y a aucun risque que cela dérape, contrairement à d’autres filles du campus. La dernière phrase du jeune homme laissa Djamila quelque peu perplexe. Que signifiait le mot « déraper » pour lui ? Et ...
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