1. Mon père ce salaud


    Datte: 16/11/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... longue est épaisse, fit-elle, c'est la première fois que je suce un truc pareil, elle est énorme, c'est presque pas humain ça! Mon père sourit, fier de son sexe dressé, sa "machine à jouir". La boulangère semblait à présent avoir oublié ses remords, et le souvenir de son mec était maintenant bien loin, vu l'ardeur qu'elle mettait à gober le chibre paternel. A plusieurs reprises elle s'étrangla sur le sexe qui, de ma chambre, paraissait déjà énorme. Elle du également souvent essuyer les larmes qui lui montaient aux yeux. Ah, ce père tant haï, tant détesté d'avoir plus de succès auprès des femmes que moi, son fils. Ce père qui était là, à quelques mètres, qui se laissait aller à ses instincts primaires de mâle dominant avec une jeune trainée du quartier, qui ne pensait pas à sa vie de famille, à sa femme. Qui ne pensait qu'à son plaisir et au plaisir qu'il allait prodiguer. Après un bon quart d'heure de suce, mon père en eut visiblement marre et décida de passer aux choses sérieuses. Il débarrassa la jeunette de ses quelques loques, lui arracha la culotte et la fit mettre à 4 pattes...à même le sol. Celle-ci protesta un peu mais face à une armoire à glace poilue d'un mètre 90, les protestations ne servent guère... Mon père vint se poster derrière la jeune trainée et d'une poussée s'introduisit dans son vagin et lui arracha un premier cri de plaisir. La scène dura de longues minutes puis, sans savoir pourquoi, mon père se redressa alla fouiller dans le revers de sa veston. Il ...
    ... revint avec une capote et la ceinture de son pantalon. Il en profita pour s'allumer une clope au passage. il reprit sa position de départ, enfila la capote sur sa queue de taureau ,passa la ceinture autour de la taille de la soumise et approcha lentement son phallus noueux du puits froncé. Au contact du gland turgescent, la demoiselle eut un mouvement de recul, presque de panique. Elle se débattit mais déjà mon père tirait d’une main sur la sangle de la ceinture et de l’autre la blonde chevelure…d’une poussée du bassin, le gland pénétra l’œillet qui fut bientôt dilaté entièrement par le pieu de chair palpitant. La jeune fille ne put retenir un cri de douleur mais n’y avait-il pas déjà dans ce hurlement des prémices de plaisirs inconnus ? Rivé aux fesses rebondies de la jeune garce, mon père ressemblait à ces cowboys que l’on voit dans les westerns d’un autre âge : cigarette au coin des lèvres, le torse bronzé et luisant de sueur, il donnait le rythme par saccades profondes et puissantes. Tel un cowboy donc, il s’essayait au rodéo sur cette jeune jument qu’il comptait bien dresser. La femelle quant à elle commençait à se laisser aller et semblait accepter de se faire marquer au fer rouge : elle acquiesçait la mâle domination sans mot dire, mais en se mordant toutefois les lèvres, les yeux hors de la tête. Pensait-elle à son copain en cet instant ? Pensait-elle à leur rendez-vous pour la Saint-Valentin ? Quoi qu’il en soit, les pénétrations se faisaient plus brutales, plus rudes, ...