Le gîte naturiste. 6 ème chapitre. Les 2 jeunes filles perdent leur virginité avec le quinqua.
Datte: 17/11/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... tête entre mes bras, je recule mon derrière les jambes légèrement écartées pour faire saillir mon abricot, je veux qu’il bande comme un taureau ! Patrick glisse deux doigts dans ma fente et les retire en remarquant: -Tu mouilles moins que ta copine est ta chatte est plus serrée, il va falloir que j’y aille avec précaution. Tu me dis si tu te sens prête, toujours décidée ? Tu risques sûrement de souffrir un peu au début ! Il me doigte longuement avant que sa bouche ne prenne la relève pour me faire mouiller un peu plus avant de présenter la tête de sa verge au centre de ma chatte. Il pose les mains sur mes hanches et me tire vers lui. Je sens le gland mafflu qui entre en force dans ma vulve et stoppe quand il butte sur ma membrane de pucelle. Margot commente le spectacle : - C’est impressionnant de voir son sexe, il est aussi gros que mon poignet, ta chatte est vraiment élastique pour s’adapter à un tel diamètre. Il s’est arrêté au point crucial et me demande : -Prête? J’ouvre la bouche pour répondre mais il ne m’en laisse pas le temps me prenant par surprise et donne un grand coup de rein explosant ma membrane qui cède sous l’impact de son bélier. Je ne réagis pas pendant quelques secondes la bouche toujours grande ouverte, sidérée par ce qu’il vient d’accomplir. Son manche vient sûrement de me déchirer mon vagin sur toute sa longueur, repoussant devant lui mes parois intimes. La sensation est extraordinaire ! Il continue maintenant sa pénétration, allant de plus en plus loin ...
... en constatant : -Putain que tu es serré ! - Aiiiieeee … hoooooo ! T’es trop gros! C’est booonnn, aaahhh…. Je sens ton truc qui repousse mes chairs à l’intérieur! Enfonce-toi encore ….ouiii, tu touches au plus profond de moi … Il me besogne si bien pendant quelques minutes que je sens monter en moi comme une décharge électrique, ses couilles frappent ma motte de plus en plus fort quand il est au plus profond de moi, je ne cherche plus à me retenir quand je sens monter en moi une sensation de bien-être que je n’ai jamais ressentie. Mon corps est pris de tremblement, j’éjecte sans le vouloir sa bite et dans des hurlements de louve expulse de mon corps des jets de liquide ambré. Que m’arrive-t-il ? Je ne peux me contrôler et pisse littéralement par saccades de longs jets transparents qui inondent le sol et le billard. Patrick rigole en s’exclamant : -Nom de Dieu, une pisseuse ! J’avais déjà connu des femmes fontaines, mais comme toi, jamais ! Margot y va aussi de son commentaire ! -J’en avais entendu parler mais je ne savais pas que ça pouvait être aussi fort, tu le savais, Sylvie ? -Non, c’est la première fois qu’il m’arrive d’avoir autant de plaisir et j’ai cru que quelque chose cédait en moi. Je ne savais pas qu’on pouvait arriver à ressentir une chose aussi intense, je suis littéralement vidée ! -Bon, les filles, maintenant que vous êtes devenues de vraies femmes, je vais vous dévergonder un peu. Sylvie, tu vas te coucher sur le dos, Margot, tu te mets tête-bêche sur elle et ...