1. Orgie à domicile.


    Datte: 17/11/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... apparentes de Didier, Suzon et moi atteignons le palier et l’entrée de ma chambre. En face, de l’autre côté du lit, ma femme tend ses lèvres au nouvel arrivant. Tout près Jules vu de dos reste immobile, hausse les épaules. Ce baiser de Lili et de Didier dépasse ses prévisions. Lili se détache et glisse, en frottant du ventre et des seins, le long de son héros, s’agenouille devant son sexe, soupèse les testicules, saisit la verge en érection et s’exclame: - Jules, tu as trouvé un spécimen rare. Merci mon chéri. Ses couilles sont gonflées, lourdes à souhait et son sexe est absolument exceptionnel, en longueur et en diamètre. Quelle queue, quel gland impressionnant. Mes sincères félicitations l’ami, merci encore d’être aussi généreux Jules ne doit pas apprécier beaucoup les soupirs d’admiration et les compliments de Lili. Il subit l’enthousiasme de ma femme et se penche vers ses propres attributs pour comparer sa verge avec celle du partenaire qu’il a déniché. La comparaison n’est pas à son avantage. Lili perd ses mots mais passe à l’acte. Ses deux mains englobent la tige épaisse tendue vers son visage, caressent le bel engin, entament une masturbation instantanée. Jules tente une diversion : - Attention, ne traînons pas, nous avons du retard. - Oui, mais j’ai tellement hâte de prendre cette bite en bouche. Didier, permets-tu ? - Je t’en prie Lili, mes bijoux de famille sont à ton entière disposition. Sers-toi, rien ne saurait me combler davantage. Ah! Gourmande, il faut bien ...
    ... ouvrir les mâchoires. Que tu es douée ma belle. Et si on se couchait ? Lili est d’accord évidemment. Elle prend les commandes: - Toi, mon Jules chéri, allonge-toi de ce côté. Que je suis heureuse de coucher entre deux hommes aussi bien disposés. Jules entretiens-toi, je veux mieux connaître ton ami. M’amour, tu ne seras pas jaloux ? Comme je t’aime. .. Oui Didier,toi aussi tu peux me toucher. Mes jambes, mes cuisses, mon ventre, mes seins, mon cou, ma bouche : tout mon corps t’attend. - Et là ? Lili roucoule de bonheur quand l’audacieux effleure de ses mains épaisses les chairs de sa vulve. - Mon sexe ? Bien sûr et c’est surtout « là » qu’est mon attente. Oh ! Merci. Jules, vois comme il s’y prend habilement. C’est un bonheur. Ses doigts m’ouvrent, son souffle m’enflamme. - J’en suis ravi. N’oublie pas que le temps presse. Didier tilte : - Pourquoi cette h^te, Jules? - C’est que je suis l’amant et non le mari de Lili. Le mari quitte le travail à 17 heures trente. C’est un cocu heureux par ignorance. - La situation se complique. Le bienheureux ne sait pas quoi ? - Que sa femme est une chaude qui a pris un amant et qui veut explorer toutes les possibilités de se donner du plaisir. - Est-ce vrai Lili ? - Oui et je te prie de donner tout ce que tu es capable de fournir. Une autre femme profite-t-elle de ta nature généreuse? - Peux-tu imaginer que tout ça ne serve pas? Je suis marié . - Oh ! La veinarde ! Ah! Que c’est dommage. Toi, tu me plais tellement. Aimes-tu ma bouche ? Nous ...