La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°739)
Datte: 17/11/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... ma bouche. Je Vous caresse quelques instants avec douceur, puis Vous prends en bouche. C’est un véritable plaisir d’avoir de nouveau cette colonne de chair en moi. Je ressers mes lèvres et doucement entame un va et vient profond. Votre main se pose sur ma tête, Vous n’essayez pas de m’imposer un mouvement, Vous me laissez faire à ma guise, mais je sens que Vous désirez que je Vous suce profondément, alors j’accentue mes mouvements, Vos couilles viennent frapper mon menton. Vous gémissez, puis sans avertir, Vous me retournez, ma tête en appuis sur le canapé, Vous Vous retrouvé dessus, les jambes de part et d’autre de mon visage. Vos mouvements deviennent plus violents, Vous entrez puissamment en moi, Vous restez au fond de ma gorge jusqu’à ce que je ne puisse plus respirer, puis Vous Vous retirez. Vous m’utilisez comme un vulgaire trou, je ne suis rien de plus qu’un endroit excitant où poser Votre vit long et durci. Je ne puis ni bouger, ni me retirer sur le canapé et Vos mains m’interdisent tous mouvements. Enfin Vous Vous immobilisez au plus profond de ma bouche. Des jets de sperme me descendent directement dans l’estomac. Lorsque Vous avez fini d’éjaculer et que j’ai tout avalé, comme une bonne chienne qui lape ce que lui offre son Maître. Vous me laissez me relever et Vous me dites de descendre dans la voiture. Je me penche pour prendre une robe afin de me couvrir lorsque Votre voix éclate sèchement : - Que fais tu chienne ? - Je, heuuu, je me couvre, Maître. - T’ai-je ...
... donné l’autorisation ? - Non, Maître, murmurai-je en baissant les yeux. - Allez, reposes moi ça et vas dans la voiture. Et que je ne te revois plus faire quelque chose sans mon autorisation !! - Oui, Maître. C’est dans cet habit qui montre plus qu’il ne cache que je descends les étages de l’immeuble, je croise la concierge qui me dévisage avec un regard hautain, puis rouge de honte je vais m’asseoir dans Votre voiture. Vous arrivez tout de suite après, Vous me faites écarter les jambes, Vous passez une main entre mes lèvres humides de ma chatte et Vous faites la réflexion que je suis mouillée d’excitation, malgré ma réticence première de sortir ainsi vêtue. Durant tout le trajet, je n’osai refermer les jambes car Vous ne me l’avez pas ordonné, je restai donc ainsi le sexe béant ouvert à tous les regards. Une fois arrivés dans le parking de la piscine, Vous m’envoyer un linge et Vous ordonnez de me couvrir pour ne pas choquer les enfants que l’on pourrait croiser. C’est qu’une fois dans la partie réservée aux personnes majeures que Vous me faites poser mon linge et d’une voix dure, vous me dites : - Tu n’en auras plus besoin, laisse-le là, tu le récupéras ce soir. Et redresse toi, tu dois être fière de ton corps de salope ! En attendant que je me change, reste là, les mains dans le dos, la poitrine en avant sans bouger et sans regarder les personnes qui passent dans les yeux. Et rappelle-toi, quoi qu’il arrive, ne bouge surtout pas. Puis Vous partez tranquillement dans les ...