Camping Honolulu
Datte: 18/11/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
inconnu,
vacances,
douche,
vengeance,
Oral
pénétratio,
À l’approche de la cinquantaine, de plus en plus heureuse dans ma vie personnelle, je me remémore différents moments de ma vie intime. Je vais les écrire chronologiquement (ou pas) pour moi et pour les partager. Ce premier moment relate l’été 1988 ; j’avais juste 21 ans. Camping Honolulu, Le Boucau, fin d’après-midi. Sandrine rongeait son frein. Cet été-là, elle avait rêvé de partir loin pendant un mois avec Christophe pour fêter la fin de leurs études. Cela faisait trois ans qu’ils étaient ensemble ; une belle histoire qu’elle rêvait durable mais qui avait malheureusement du plomb dans l’aile depuis quelque temps. Sa proposition, faite durant l’hiver, avait reçu un accueil mitigé de Christophe ; il avait tergiversé, arguant de sa fin de stage, des 50 ans de ses parents. Elle aurait aimé le secouer, mais ne voulait pas créer de crise majeure alors que leur jeune couple allait bien par ailleurs. Ils s’étaient ensuite peu vus au printemps, chacun effectuant son stage dans une ville différente, et au début de l’été il avait proposé d’aller faire du surf sur la côte atlantique avant de partir en vacances avec ses potes. Ce n’étaient pas les contrées lointaines dont elle avait rêvé, ni l’été amoureux auquel elle s’était attendue. Surprise, ne sachant à quoi attribuer cette tiédeur soudaine, elle avait accepté, espérant renouer avec leur enthousiasme passé. Las : depuis quatre jours, Christophe passait ses jours sur sa planche et ses nuits à dormir. Après une journée dans les ...
... rouleaux, Sandrine était allée prendre une bonne douche pour partir se balader en ville, mais Christophe était reparti à la mer en son absence. Assise sur son transat, à côté de leur petite tente, elle passait de l’après-soleil sur ses jambes en ruminant de sombres pensées quand son regard croisa celui du propriétaire d’un camping-car voisin ; c’était un Italien d’une quarantaine d’années, venu en famille, avec qui le jeune couple avaient échangé quelques salutations d’usage. Il la regardait gentiment avec une certaine attention, attention qui lui faisait bien défaut ces derniers mois, réalisa-t-elle. Flattée d’avoir suscité l’intérêt d’un homme autre que le sien et de surcroît plus mûr, elle fit plus attention à ses mouvements, mettant plus d’élégance et même une pointe de sensualité dans ses gestes. L’Italien continuait à la regarder avec intérêt. Elle abordait le haut du corps et se résolut à défaire le nœud de son paréo pour étaler l’après-soleil sur ses épaules puis entre ses seins, qu’elle avait généreux. Elle avait remarqué que la femme de son voyeur était presque plate, et était plutôt fière de lui montrer ses arguments. L’Italien leva son pouce pour saluer le tableau, puis avisant qu’il était seul (sa femme cuisinait dans le camping-car et son fils était à la plage), il lui fit signe de continuer. Elle entrouvrit alors son paréo et huila ses cuisses, d’abord le dessous qui avait rougi, puis l’entrecuisse pourtant peu exposé aux rayons. L’envie de faire payer à Christophe ...