1. Nadine, la vengeance d'une maman (23)


    Datte: 18/11/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... autre verre de vin, leur a fait part de ses griefs ma main serrée dans la sienne. Papa s’est exclamé qu’il s’était excusé, qu’il avait changé, qu’il était temps qu’elle tourne la page. Il nous a pris à témoin, a continué à se justifier sans fin. Elle m’a broyé les doigts, lui a tenu tête, tout en faisant très lentement remonter ma main entre ses cuisses. J’étais pétrifié. Quand ma main est arrivée en haut, tout en haut sur sa culotte, elle a croisé les jambes pour l’emprisonner dans la fourche de ses cuisses. Je pouvais sentir ses poils, le renflement gras des lèvres de sa chatte sous mes doigts. Je n’en revenais pas qu’elle prenne autant de risques. Je me demandais ce qui lui arrivait. Elle a tourné la tête de mon côté, m’a regardé d’une façon qui ne m’a rien dit de bon. J’ai réalisé que mon père n’avait pas de soupçons, pour la simple et bonne raison qu’il m’avait écarté de l’équation - alors que la relation fusionnelle que j’entretenais avec elle l’avait tant dérangé par le passé. La seule chose qui comptait pour lui, la seule digne d’intérêt, c’était qu’elle redevienne l’épouse docile et dévouée qu’elle était avant qu’il ne la quitte. Rien d’autre que son petit confort domestique n’était important. Il ne le présentait pas de cette manière bien sûr, il y mettait les formes, mais c’était pourtant la cause qu’il défendait. Je comprenais mieux le comportement insensé de ma mère, sa fureur rentrée ; ce goujat était plus égoïste que jamais. J’ai su pourquoi ce que j’avais ...
    ... perçu dans son regard m’avait autant inquiété : elle était déterminée à se venger ; et elle avait l’intention de le faire payer de la pire des façons : en m’utilisant. Elle a écarté les jambes, a avancé son derrière sur sa chaise, a glissé ma main dans sa culotte, l’a posée sur sa motte. Elle m’avait déjà prouvé qu’elle pouvait être encore plus vicieuse que moi, mais je n’avais jamais imaginé qu’elle serait capable d’aller aussi loin. Je crois que c’est à ce moment précis que Papa a compris. J’ai voulu retirer ma main, pour au moins sauver les apparences, mais Maman m’en a empêché, l’a gardée à l’abri dans son nid. Il a laissé tomber sa serviette, s’est penché pour la ramasser, mais surtout pour vérifier ce qui se passait sous la table. Quand il s’est relevé, il était aussi pâle qu’un mort, plus blême qu’un cadavre. Je n’oublierai jamais son regard. Ses yeux exprimaient un sentiment qui avait dépassé la stupeur, qui allait au delà de la colère, de l’indignation. Il avait la tête d’un homme qui vient d’être confronté à un spectacle si traumatisant qu’il sait que sa vie en sera changée à jamais. Plus personne ne parlait, mes grands-parents ne comprenaient pas ce qui arrivait, alors Maman s’est levée et a dit qu’elle allait préparer le café. Mon père l’a suivie dans la cuisine. Je craignais qu’il s’emporte, ou même qu’il lève la main sur elle, mais je me doutais qu’il n’exploserait pas tant que ses parents seraient présents. Il s’est maitrisé tant bien que mal jusqu’à ce qu’ils s’en ...