1. Ma cousine se découvre...


    Datte: 18/11/2017, Catégories: Première fois

    J'ai rencontré pour la première fois ma cousine Florence lors d'un mariage. Bien que d'un âge proche, 26 ans pour moi, 20 ans pour elle, nous ne nous etions jamais rencontré. Ce mariage n'a pas facilité notre rencontre : elle était placée à la table des enfants et moi de couples très agés. Pour faire bref, nous avons passé plus de temps dans les couloirs de l'hotel qu'à table, où ne nous sentions pas à notre place. Une complicité naturelle est née de cette situation, et je n'ai aucun souvenir de ce mariage si ce n'est celui de ma cousine qui me faisait un rentre dedans que je ne voyais pas jusqu'alors... Ce n'est que 15 jours plus tard qu'elle m'invita à Poitiers, passer le week-end. Nous étions immanquablement attiré l'un vers l'autre, sexuellement, mais je pense sincèrement qu'à cet instant ce n'était pas avoué ou conscient. Pour moi en tout cas. Jeune, pas très grande ni très fine mais pulpeuse, de grands yeux bleus avec des traits fins, ma cousine était particulièrement sexy. Son généreux 90C y participait beaucoup, de même que ses lèvres, gourmandes, et qui habillaient un sourire mutin. Dans son petit studio, nous étions naturellement couchés dans le même lit, un clic clac d'étudiant. Forcement étroit. Je n'ai curieusement pas de souvenir exact du déclenchement, mais couché contre elle, légèrement serrés, Florence a deviné mon érection... La réalité a rattrapé son imagination lorsqu'étonnamment, elle a soudain posée la main sur mon sexe, emprisonné dans un boxer. "Tu es ...
    ... déjà chaud!" me glissa-t-elle. Je l'embrassais alors, tout en lui caressant les seins, dont la douceur et la fermeté provoquaient au creux de la main de ma cousine les soubresauts de mon membre gonflé. J'avais envie de la baiser, de lui secouer les seins en m'enfonçant violemment entre ses fesses et de lui faire pousser des cris en l'écartelant avec ma queue, plutôt large. Je suis descendu bas dans le lit, pour lui retirer sa culotte et gouter à sa chatte, sa jeune chatte d'étudiante. Le fin duvet blond que je découvris ne fis que m'exciter davantage ; une vraie blonde ! Elle mouillait beaucoup, je léchais son tendre ventre blanc laiteux autant que sa douce chatte tiède, offerte. Ses fesses, bien en chair, étaient étonnamment fermes et serrées. Après quelques minutes de ce traitement qu'elle semblait apprécier, je remontais pour goûter à sa bouche. Et lui faire gouter le gout de sa mouille, ce qu'elle accepta avec plaisir... tout en m'avouant timidement sa virginité. Son petit ami, m'expliqua-t-elle, n'avait jamais été en mesure de lui offrir une érection correcte... incroyable mais vrai. Je l'imagine, masturbant pendant des plombes ce mec impuissant incapable de satisfaire le cul girond de ma belle cousine blonde. Nous ne fîmes rien cette nuit là ; inutile de vous dire le niveau de ma frustration. Elle me repoussa et passa la nuit dans mes bras, satisfaite et surtout rassurée de savoir que son corps, ses seins, son sexe puisse susciter l'envie chez un homme, ce en quoi elle ...
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