Black Angel, justicière et soumise (13) - Histoires de Sexe

Black Angel, justicière et soumise (13)

... ma douce, hein ? Tu veux que je termine ce que j’ai commencé, pas vrai ? s’amusa-t-elle. — Oui, par pitié. — OK, mais à une seule condition ! — Laquelle ? Elle me montra ses doigts trempés et les écarta devant mes yeux. Ils étaient reliés par des filaments blanchâtres et gluants. — Regarde ! Tu vois mes doigts, Océane ? Ils représentent le stylo, et ta délicieuse crème sera l’encre qui te servira à signer notre consentement mutuel. — Je les vois très bien. Elle les mit à portée de ma bouche entrouverte. — Alors suce-les, ma belle. Signe notre contrat. Appartiens-moi et deviens ma soumise. Je te garantis qu’on va s’éclater comme des folles, toutes les deux ; tu ne le regretteras pas ! me chuchotait t-elle sensuellement au creux de l’oreille. Nos regards fiévreux se croisèrent. Mon corps ne m’appartenait plus, nos yeux ne parvenaient plus à se détacher les uns des autres. Je suçai longuement et avidement les doigts trempés de fluide salé et crémeux de Béné qui est alors en cet instant devenue plus que mon amie, ou ma sœur de cœur. Elle est devenue ma Maîtresse. — Ouiiiiii, c’est très bien, Océane ! annonça-t-elle fièrement. Maintenant, lorsque je t’appellerai, tu répondras soit à ton prénom, soit à « ma petite salope d’amour ». Ça te plaît ? demanda-t-elle. — Oui, Miss B., j’en suis très heureuse ; merci infiniment ! dis-je une fois que ses doigts furent à nouveau propres. — Il n’y a pas de quoi. Elle avait remporté cette victoire qu’elle espérait tant. Avec deux doigts, elle ...

... agrippa doucement mon menton et posa sa bouche sur la mienne. En cet instant, nous avons alors échangé un fantastique baiser passionné en ronronnant doucement tandis qu’elle recommençait à jouer tendrement avec mes seins et à doucement martyriser mes tétons dressés. — Dis donc, ton baiser était très agréable… Combien de nanas as-tu embrassées avant moi ? — Vous êtes la première, mais j’ai embrassé pas mal de mecs ces derniers temps, vous savez… mentis-je encore une fois. — Hmmm... Je vois... Sa main libre allait à nouveau à la rencontre de mon puits aux plaisirs. Lorsque ses doigts sont à nouveau entrés en contact avec mon petit bourgeon, j’ai couiné tout en me contractant de tous mes muscles. Une fois de plus, ma tête roula sur l’épaule dénudée de Béné qui empaumait mon minou devenu hypersensible. Je me laissais porter aux caresses expertes de mon amante. Sa bouche et sa langue jouaient délicatement avec le lobe de mon oreille. Je sentais qu’elle voulait me faire durer, peut être même toute la nuit, à en juger par ses gestes ; mais j’étais trop excitée : sa façon diabolique de me caresser les seins, de me parler, bref, de s’occuper de moi m’avait presque déjà conduite au bord de l’extase. nlinhhac — Allez, jouis, ma petite salope d’amour ! Jouis de toutes tes forces pour ta Maîtresse ! Vas-y, ma douce, lâche-toi ! Mes yeux se sont presque révulsés, et dans un râle rauque j’ai joui sans retenue sous les caresses de Béné. Je tremblai encore de mon terrible orgasme, j’étais en ...