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VOYAGE DE NOCE. Soirée de bienvenue (4/4)
Datte: 18/11/2017, Catégories: Dans la zone rouge,
... suivit du troisième qui la trouve si mouillée que sa pénétration en est facilitée. • M’est y ta main, elle aura de la place. J’ai entendu parler des femmes se faisant fister mais le faire moi-même est un jeu nouveau et je sens ma queue se durcir dans mon smoking. Facilement ma main est au fond et sans plus de tabou elle m’empoigne l’avant-bras ce qui me fait avancer de 10 centimes sans qu’elle semble ressentir la moindre douleur. • Je peux continuer. • Oui. Je pousse et je vois mon bras poing fermé arrivé à la pliure du coude étant entré d’environ quarante centimètres dans le vagin de cette femme. • Ouvre ta main les doigts vers le haut. Je fais ce qu’elle me dit et je vois les pliures de son ventre se tendre et la pointe de mes doigts apparaître à travers la peau presque à hauteur de son nombril. À partir de ce moment je me penche pour aspirer son clito et je sens tout son corps se tend sous le plaisir que cette double attaque lui procure. Dans la pièce de nombreuses femmes jouies, je reconnais même les cris de Jennifer que je connais si bien mais la comtesse crie d’au moins 4 à 5 décibels plus forts agitant ses jambes comme pourrait le faire une grenouille branchée sur de la basse tension. Quand je sens qu’elle a atteint le sommet de cette jouissance je retire doucement mon bras puis ma main laissant devant mes yeux ébahit une fraction de temps sa chatte ouverte, non, béante. Il se passe quelques minutes avant que pleine de vitalité elle se relève et me prenant la main ...
... couverte de sa cyprine m’entraîne hors de la salle à manger. • Viens, je vais te monter le jardin secret de Giacomo. Nous passons sous l’escalier monumental dans le hall et par une petite porte dérobée elle me fait entrer dans un jardin intérieur invisible si le chemin vous en est inconnu. • Nicolas, tu t’appelles bien Nicolas. • C’est le prénom que ma maman m’a donné. • Allonge-toi sur l’herbe j’adore dominer les mâles. Comme un gentil toutou je m’allonge sur les 50 m² qui composent la cour et sans perdre du temps la comtesse s’agenouille entre mes cuisses pour me sucer la bite me montrant que ces années dans les soirées torrides de Venise ont fait d’elle une experte en absorption buccale. Dès qu’elle sens que j’ai atteint le paroxysme de ma tension elle se relève prestement malgré son âge et s’empale sur moi. Je décolle ma tête et je prends un de ses seins que le dégrafage de sa guêpière permet dans ma main pour le porter à ma bouche. Je me souviens que quand je la fistais mes doigts sur son clito l’ai stimulé aussi je les porte à son contact et comme une pile électrique son premier cri de plaisir arrive à mes oreilles. Je suis content qu’elle m’ait choisi car pour la première fois que je fais jouir une grand-mère l’expérience fort intéressante était à vivre. Elle aime être dessus mais moi je suis un mâle dominant aussi je la prends par la taille la décolle de mon pieu car elle est très fluette. • Mets-toi en levrette, je vais t’en donner encore un peu plus. • Non, remets-moi ...