JE DÉPUCELLE LE FILS DE MA MEILLEURE AMIE. (5)
Datte: 19/11/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... chambre de Julie. J’entre et la trouve endormie, un drap cache sa nudité. Ce qui c’est passé hier me donne un sentiment de puissance, de conquérant. Je vais maintenant voir Emilie, elle a tellement remué dans son lit que le drap ne couvre plus rien. Je viens de me rendre compte qu’Emilie m’excite plus que sa mère, je ne sais pas si c’est sa jeunesse, ses longs cheveux soyeux, sa peau blanche si souple, ce corps élancé sans défaut, sans parler de son admirable derrière et de ses seins magnifiques de fermeté. Je ne veux pas troubler leur sommeil et rejoins ma chambre, des images plein les yeux. Je me branle doucement en pensant à la chance que j’ai. J’entends du bruit dans la salle de bain. Je suis allongé sur le lit quand soudain la porte s’ouvre. Elles sont les deux devant moi comme si c’était tout à fait naturel, vêtues toutes le deux d’un de mes Tee-shirt qu’elles retirent à peine entré dans la pièce. J’ai devant moi deux superbes créatures, la mère et la fille complètement nues. Elles se placent de chaque côté de mon lit en se regardant d’un air complice. L’une m’embrasse à pleine bouche pendant que l’autre se met à téter mon dard toujours au garde-à-vous. Pendant quelques minutes, elles alternent, passant de mes lèvres à mon nœud avant de ne plus s’occuper que de mon organe reproducteur. L’une me pompe pendant que l’autre gobe mes œufs qui ont refait le plein : un véritable supplice mais quel délice ! Je ne vais plus pouvoir me retenir longtemps. Julie s’en aperçoit et ...
... enfourne ma queue le plus loin qu’elle peut pour que je jouisse dans sa bouche. Elle montre à sa fille l’obole reçue puis l’embrasse à pleine bouche pour partager ma liqueur avec elle. Ce spectacle peu commun sous mes yeux me fait tellement de l’effet que je ne débande pas. Emilie me branle lentement, avant de subitement s’arrêter et de m’avertir : -mon chéri, maman et moi on est à toi, fais de nous ce que tu veux ! Elle veut que je la pénètre en premier et que je la baise à fond pour qu’ensuite je puisse baiser sa mère, je suis surexcité. J’attire Emilie à moi. Je me glisse entre ses jambes et commence à lui lécher la chatte puis le cul. Je me penche sur elle pour présenter mon engin évitant de trop incliner mon sexe douloureux tellement il se dresse fièrement contre mon ventre et la prend sous le regard complice de sa mère Ma bite dure, noueuse, malgré mes mensurations, n’a aucune difficulté pour la pénétrer tellement elle a déjà mouillé. Mon mandrin dilate et frotte les parois qui le comprime jusqu’à l’extase. Emilie c’est tue, crispée, avant de pousser ses reins à la rencontre de mon pubis. Pendant plusieurs minutes nous luttons en une joute charnelle, de plus en plus complice. Nos souffles se mêlent. Elle a vite appris depuis hier et son corps ondule en rythme sous mes assauts. Il ne lui faut que quelques minutes avant de crier : -Ouuiiii, je jouiiiiiiiis, plus fort, encore, encore !!! Après quelques minutes, j’abandonne ce jeune corps pour m’occuper de Julie, je glisse ...