1. Unif Sissy transformation (Ep. 3)


    Datte: 19/11/2017, Catégories: Anal Gay Transexuels

    ... jambes. J’avais opté une tenue qui mettait mes arguments physiques en avant, mais de façon sage, sans paraître débraillée ou allumeuse. Et lorsque je fus prête, je pris le chemin de l’unif, escortée de Mike. Je sentis le regard de certains étudiants sur moi… quelle ivresse !- Tu es sûr que ça va aller Alex ?- Pas de soucis Mike, je suis grand garç… heu… une grande fille, tu sais, je vais me débrouiller !Il sourit, et parti pour suivre ses cours. Moi, je me dirigeais vers le bureau du recteur de l’université. Il me reçut assez rapidement, il avait la réputation d’être assez proche de ses étudiants… et surtout de ces étudiantes selon certains commérages. Toujours est-il que je ne l’avais pas beaucoup vu depuis que j’étais à l’unif. Assez grand, la cinquantaine passée, il avait le crâne fort dégarni, avec une couronne de cheveux gris. Ses yeux étaient d’un bleu perçant, on y voyait une grande intelligence, le reste de son visage et de son corps étant assez banal, comme n’importe quel cinquantenaire habitué à faire du travail de bureau. Il était assis à son bureau, je m’assis sur la chaise face au bureau qu’il me désigna. Je lui racontais mon histoire, qui j’étais, ma transformation, le bien-être et la confiance que ça m’apportait dans ma vie, un réel renouveau (Mike m’avait briefé sur ce que je devais dire). Mais il ne semblait pas très ouvert. Il trouvait que cela était des fantaisies, que tout le monde ne pouvait pas se déguiser comme ça… Il me demanda même mon âge, pour ...
    ... vérifier si j’étais majeur. Je pleurnichais, arguant que je n’étais pas « déguisée », j’étais moi ! Il s’en voulut de ces paroles, et se leva et fit le tour de son bureau pour me donner un mouchoir en papier, pour sécher mes « larmes » (j’en rajoutais un peu, comme Mike m’avait expliqué), s’excusant d’avoir utilisé le mot « déguisée », disant que j’étais d’ailleurs fort jolie, mais que ce n’était pas l’esprit de l’établissement.Il s’assit à moitié sur son bureau face à moi. Il était plus proche déjà. Je lui parlais alors des valeurs de notre université, gravé dans la pierre sur une des façades, valeurs d’ouverture, de tolérance et la résolution de l’établissement de vivre dans son temps, rejetant l’intolérance et le conservatisme forcené. Il hésitait, et tout en parlant, j’avais écarté mes jambes, il devait avoir d’où il était une vue imprenable sur mes cuisses, l’élastique de mes bas, ma culotte noire en dentelle. Je vis que son regard vira en plein dessus. C’était ma dernière carte, ma dernière chance. Où il s’offusquait et je risquais d’être virée, où les rumeurs étaient vraies à son sujet, et il craquerait. Une chance sur deux… Ce qui me faisait le plus peur, c’était de voir apparaître sur son visage un air de dégoût. Cela m’aurait vraiment brisée !Mais rien de cela, non, il passa nerveusement le bout de sa langue sur ses lèvres minces, et me parla des difficultés administratives que cela pouvait engendrer sans quitter mon entrejambe du regard… je mordillais de façon sensuelle ...
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