1. Passer du fantasme à la réalité ? Oui, mais après...


    Datte: 19/11/2017, Catégories: couple, couplus, extracon, anniversai, jalousie, noculotte, Oral

    ... l’avait fait hors de ma présence. Et que je l’avais accepté surtout parce que j’étais certain que cela ne se ferait jamais. J’étais tellement sous le choc que je ne pris pas tout de suite conscience qu’elle avait fini de parler et attendait ma réaction. Merde, merde et merde ! Les règles du jeu m’avaient échappé ; le deuxième acte s’était joué sans moi. Au lieu de dire « stop », j’avais encouragé mon épouse à se montrer coquine. Et comment blâmer mon cocufieur ? L’épouse qui lui montre sa chatte trempée puis qui le gratifie d’une fellation magistrale, le mari qui mate et qui consent, une fuite pour ne pas succomber à un désir charnel incontrôlable… il pouvait parier sans risque sur la nature généreuse d’une femme qui aime le sexe. Du coup, il avait frisé l’overdose de stimulant sexuel et conquit le Graal dans ma propre couche. Que je suis con ! Cocu et con ! Tellement con que malgré la jalousie qui me tordait le ventre, je bandais comme un âne en rut. Jamais mon taux de testostérone n’avait grimpé si haut en quelques secondes. Je n’avais plus qu’un but : profiter à mon tour de la garce qui se tenait devant moi, la culbuter sur le lit et me jeter sur elle. Je lui arrachai sa robe, déchirai sa culotte et la pénétrai sans ménagement. L’enculée, elle allait prendre cher ! Notre couche sentait le stupre. Maya puait le mâle, le sexe et le sperme, et cela me rendit encore plus fou. Je la baisai en la traitant de grosse pute et de salope ; elle me nargua en disant que je n’avais pas ...
    ... idée à quel point elle pouvait l’être, et nous eûmes tous les deux l’orgasme le plus dévastateur de notre vie. Étrangement, je trouvai des ressources insoupçonnées pour bander à nouveau. J’en voulais plus : je voulais ce qu’elle avait offert à son amant et m’engageai par l’entrée des artistes. Le passage était étroit mais tapissé de sperme, et j’eus tôt fait de sentir mes bourses sur ses fesses. Je criai en l’enculant ; Maya rétorquait par des mots orduriers, vicieusement, comme une sadique qui enfonce le clou qui fait mal. Elle défiait ma virilité, mettait en doute ma capacité à satisfaire une salope comme elle, et n’eut de cesse de me traiter de cocu qu’après avoir joui elle-même et m’avoir fait exploser dans ses entrailles. Justice était rendue : j’avais couvert la semence de son amant dans son con et dans son cul. Après cette petite satisfaction, la jalousie me vrilla à nouveau le cerveau, la jalousie et le dégoût de moi-même. Maya quant à elle était très contente de cette situation inédite. Arguant que la concurrence s’avérait le plus efficace des aphrodisiaques, elle proposait de se faire sauter de temps en temps par des amants de passage pour stimuler sa libido et la mienne. S’auto-qualifiant de salope à temps partiel, elle essayait de me convaincre que j’avais une femme idéale, putain au lit, épouse respectable en dehors. Quand d’autres auraient fait profil bas après avoir trompé leur mari, Maya avait réussi à prendre l’ascendant sur moi dans les choses du sexe et des ...
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