1. La première rencontre


    Datte: 19/11/2017, Catégories: hh, inconnu, Collègues / Travail hsoumis, hdomine, init, Gay

    Bonjour à tous, je me présente, je suis Jules. Je vais vous conter mes aventures de l’initiation à la véritable révélation de ma nature profonde lors de mes rencontres avec Sébastien. J’espère que ces histoires réelles vous donneront autant de plaisir qu’elles ont pu m’en procurer en les vivant. La première de cette longue série d’histoires nous transporte il y a de cela quatre ans (c’est à dire en 2014). Je suis un garçon de 35 ans, cadre dans une grande boîte internationale à Paris et ayant des horaires à rallonges. Ma vie sentimentale n’était pas réellement au beau fixe, car je venais de me séparer de ma femme à l’époque, car j’accordais beaucoup plus de temps à mon travail qu’à la sortir. Je me suis toujours senti un peu attiré par les hommes, mais sans jamais avoir osé franchir le pas. Cette attirance remontait d’aussi loin que je me souvienne à mes années de collège où je pratiquais sur mon temps libre un sport d’équipe pas forcément aussi populaire que le foot ou le rugby, mais le handball. À cette époque, je profitais des fins de matches pour traîner le plus longtemps possible dans les douches pour mâter mes équipiers et comment le développement de leur anatomie se passait. Plus tard au lycée, au bac, je pris l’option piscine, rien que pour mâter d’autres élèves ainsi que les appelés du contingent qui s’entraînaient et donc partageaient nos vestiaires. Je fantasmais depuis des lustres sur un jeune appelé solitaire et l’air rebelle. Ce mec était tout à fait mignon, ...
    ... les cheveux ras, pas un poil ni un gramme de graisse et un regard qui te montre quelle pourrait être ta place si tu terminais au lit avec lui. Plusieurs nuits la veille d’aller en cours de sport, j’imaginais qu’il s’aperçoive de mon petit manège et que dans un élan mêlant furie et pulsion animale qu’il me présente son sexe circoncis et épais à honorer avec ma bouche pour enfin me prendre comme une chienne en chaleur sur le banc des vestiaires. Puis une fois son affaire terminée qu’il m’inonde le cul de son foutre épais et crémeux en se couchant sur moi telle une paillasse. Une fois, je me suis fait griller par ce jeune appelé qui avait remarqué que je le matais depuis trop longtemps. Il se dirigea vers moi à poil, et me demanda si j’avais un problème et que les pédés de mon genre n’avaient droit à aucune considération de sa part. Ne sachant pas si je pouvais à l’époque franchir le pas, si je risquais de me faire casser la gueule par un appelé susceptible, je pris le parti de jouer au con et de lui faire croire qu’il était grave paranoïaque. Les séances suivantes, je ne le recroisais plus jamais. Peut-être avait-il terminé sa période sous les drapeaux ou bien était-il parti ailleurs… ? Dommage, qui sait, peut-être étais-je passé à côté d’un bon moment… ? Mais il ne faut jamais regretter le passé, car un jour où l’autre le destin se représente face à toi et là tu te dois le saisir à pleine main. La suite de ma vie fut plus tournée vers la fête en fac et en école de management. Au ...
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