1. Une expérience douloureuse physiquement mais sublime


    Datte: 19/11/2017, Catégories: fh, couple, forêt, parking, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral sm, attache, yeuxbandés, fouetfesse, piquepince, init, prudes, fsoumisah,

    ... la fille et j’en voulais à Paul de s’être livré à ce jeu. Et dès que la voiture a repris son chemin je le lui ai dit. Ses réponses m’ont laissée pantoises. Il m’a simplement demandé : — C’est combien pour une pipe ?— Euh… je ne suis pas une … enfin une …— Tu veux dire : une pute ?— Oui, c’est ça.— Alors combien ?— Mais …— Je vais répondre à ta place : Gratuit !— Euh… oui, bien sûr !— Combien pour tes fesses ?— Non, je ne veux pas.— Alors rentrons.— Non ce n’est pas ce que je voulais dire.— Alors, combien pour ton cul ?— Oh !— Alors ?— Je pense que je dois répondre : Gratuit, non ?— Bonne réponse.— Et je pense que tu vas me poser la question du ceinturon ?— Non, parce que c’est gratuit. As-tu vraiment compris où tu mettais les pieds ? Je devrais dire où tu engageais tes fesses ?— Je crois avoir compris.— Es-tu sûre de vouloir continuer ?— Non je n’en suis pas sûre, mais je veux te prouver que je sais être à la hauteur de ce que je promets. Je t’aime et je veux partager ta vie vraiment. Paul a ensuite quitté le Bois et je pensais que nous rentrions à la maison. Mais, au lieu de prendre la bonne sortie de l’autoroute (Nous habitons en dehors de Paris dans une très agréable propriété), il a poursuivi sa route et après une vingtaine de minutes il s’est garé sur le parking désert d’une grande surface. Il y avait quelques voitures mais Paul s’est garé à l’autre extrémité. — Es-tu toujours aussi sûre de continuer à jouer ? J’étais allée trop loin pour reculer et, dois-je l’avouer, je ...
    ... prenais un goût certain à cette nouvelle vie pour moi. Je ressentais des émois en moi qu’il y a longtemps que je n’avais pas éprouvés. En termes crus, j’avais envie de plus, de beaucoup plus. Je me sentais animal en rut. Mais surtout que le charme ne soit pas rompu, que Paul ne me laisse pas au milieu du gué. Je le sentais indécis ; aussi, j’ai eu ces mots que jamais je ne me serais crue capable de dire : — Qu’est-ce que tu attends ? Tu te dégonfles ? La réponse fut immédiate : — Tu descends de la voiture, tu te déshabilles, tu laisses tes fringues sur place et tu viens me rejoindre sur le parking, là où je serai garé.— Mais je n’ai pas de culotte !— Eh bien ce sera sans culotte.— Je serai nue alors !— Exact.— Ne va pas trop loin.— Ce soir c’est moi qui décide !— D’accord mon chéri. Je suis descendue et tout en regardant autour de moi pour être certaine que personne ne me voyait, j’ai ôté mon tailleur, mon chemisier et, après une vraie hésitation, mon soutien-gorge. J’étais vraiment nue à l’exception de mes escarpins que j’ai décidé de conserver. C’est à ce moment que j’ai vu que la voiture de Paul démarrait. Il a fait un grand tour, et en revenant vers moi, il a allumé plein phares. Dans un réflexe puéril, j’ai mis un bras sur ma poitrine et une main sur mon sexe, mais un appel de phare impérieux m’a fait comprendre que ce n’était pas ce que Paul voulait. Alors, par provocation ? Ou envie ? Je me suis redressée et, les mains sur la nuque, je me suis dirigée vers la voiture. ...
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