1. Une expérience douloureuse physiquement mais sublime


    Datte: 19/11/2017, Catégories: fh, couple, forêt, parking, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral sm, attache, yeuxbandés, fouetfesse, piquepince, init, prudes, fsoumisah,

    ... goût, un plaisir pervers. À la hauteur de ce qui plairait à Paul ? Je l’espère, mais pour moi c’est la découverte d’une autre dimension. J’écoute à peine les enchères. Je suis abasourdie quand j’entends : — Adjugé pour 1.000 euros l’enlèvement de la nuisette et apposition de pinces sur les seins. C’est quoi l’apposition de pinces sur les seins, les miens ? Non pas question ! Mon enchérisseur, après avoir donné quelques billets à Pierre, vient vers moi, le regard épanoui, et relève lentement ma nuisette pourtant qui ne cachait rien, me la maintient sur les yeux et brutalement accroche sur mon sein droit une pince qui me fait crier de douleur. Comme j’allais me protéger, j’ai senti que "Maître Pierre" me maintenait les bras dans le dos en me disant à l’oreille : — Il a enchéri, c’est son droit. Manifestement, l’enchérisseur était un sale pervers, mais je sais depuis qu’il y a mieux dans le genre, et la seconde pince, dotée elle aussi de griffes acérées me fut apposée sans précaution particulière. Ce que je n’avais pas imaginé c’est qu’une fois les pinces lâchées une douleur insoutenable allait m’envahir car elles étaient lestées d’au moins une tonne. Ma poitrine devait être à mes pieds. Il n’en était rien, mais la douleur était vraiment intense. — Passons à la suite des enchères. Pour 1.000 euros ou plus selon vos enchères, qui veut rougir ces fesses qui ont manifestement besoin d’être corrigées ?— A-t-on le choix des instruments ?— Bien sûr.— Les fesses peuvent-elles ...
    ... s’étendre jusqu’aux seins et au sexe ?— Bien sûr.— Peut-on la menotter pour qu’elle ne se protège pas trop ?— C’est à elle d’en décider. Comme la question m’est posée par Pierre, je réponds à haute et intelligible voix que je n’accepte rien de tout cela mais comme le choix ne m’appartient pas, c’est à mon mari, que j’aime, d’en décider. En secret, j’espère que mon mari m’épargnera ces tourments car si tourments il y a je préfèrerais que ce soit lui qui me les inflige. Mais en secret aussi, je souhaite qu’il ne m’épargne pas pour que je puisse lui prouver que je suis prête à aller loin dans son chemin, avec lui. Je sens une hésitation chez Paul. Il vient et me regarde dans les yeux. Il me demande ce que je veux. Je lui réponds qu’il est le Maître du jeu et que c’est lui qui décide et qu’en joueuse obéissante j’obéirai. C’est alors moi qui annonce que mon mari a souhaité qu’il n’y ait aucune indulgence. Je dois être punie. Je serai punie. La punition est donc mise aux enchères. C’est à mon tourmenteur de décider si je dois être menottée ou pas. Les enchères montent. Certains souhaitent m’enlever les pinces des seins avec un fouet, d’autres me pendre par les pieds écartés à un arbre en forêt et que je lui fasse une pipe la tête en bas pendant qu’il donne une fessée. L’enchère la plus haute, est celle de Paul, mon mari. Les enchérisseurs sont furieux mais les enchères sont les enchères. J’ai su, bien plus tard que l’argent des enchères était la rémunération de Maître Pierre. Paul veut ...