1. Sacrée soirée


    Datte: 01/07/2017, Catégories: candaulisme, fhh, ffh, cadeau, anniversai, ffontaine, Oral 69, double, Partouze / Groupe totalsexe, couplea3, uro, boitenuit,

    ... elle jouit comme une salope. Elle n’imagine pas à quel point elle a raison, mais je ne réponds pas car elle me fait écarter les cuisses d’une pression de la main et elle m’enfonce un doigt, puis deux dans le cul, tout en continuant de me masturber, ce qui accentue encore ma bandaison ! Je ne sais quel onguent ou quelle crème elle utilise, mais ses longs doigts vont et viennent en moi avec une facilité et une douceur extrêmes. Je les sens de l’intérieur comme si elle me branlait à deux mains, ce qui m’oblige à la calmer un peu car il n’est pas encore temps pour moi de « jeter ma gourme »… Sur le lit, la cadence s’accélère ; les allers-retours des deux hommes sont de plus en plus rapides, So’ gémit et crie son plaisir en continu… — Aaaaahhhh ! Mon amour, que c’est boooon ! La bite de Nico me fouille au plus profond… Je la sens qui durcit encore, aaaaahh, oui, vas-y, Nico, remplis-moi le cul de ton foutre… Oui ! Ouuuiiii ! Viens ! Lâche tooouuuuuuut ! Et toi, mon Paulo, vas-y, cravache, ne me laisse pas refroidir, mon con en veut aussi… Oui ! Je sens que ça vient, inonde-moooooiiiiiii ! Non, Nico, ne pars pas encore, je veux garder ta pine chaude en moi pendant qu’il me fourre… Les coups de reins désordonnés de Paul traduisent l’explosion imminente… et il se lâche dans un grand cri. — Aaaaaahhhhhhhhhh ! Le salaud ; il me jute jusqu’au fond de la matrice, c’est un vrai canon, sa queue… et quels jets il me met ! Mmmmmhhh, je sens que ça vient, ça monte comme un typhon, j’éclate, ...
    ... je joouuuiiiiiiis… Oh, mon amour, regarde, regarde comme ils me remplissent, les cochons ! Un moment après cet orgasme fou, tandis que Maélys continue de me fouiller le cul et de me branler la pique, Nicolas se relève et, prenant sa gandourah, sort de la pièce. So’ se dégage à son tour, un sperme abondant dégoulinant de sa vulve et de son anus… Elle ôte alors son masque. Agenouillé sur le lit, Paul, la pine toujours en érection, lui dit : — Tu es trop bonne, Sophie ; tu vois, je bande encore pour toi. Maintenant, je voudrais t’enculer, tu veux bien ?— Oh oui, je veux que tu me défonces avec ta grosse queue !… Et, se tournant vers moi, elle ajoute : — Dis, mon chéri, tu veux bien que ta douce femme se fasse enculer par le Monsieur ? Elle n’attend évidemment pas la réponse et se remet sur le lit à quatre pattes, cul et con béants et inondés, puis lui lance, impatiente : — Eh bien, qu’est-ce que tu attends ? Tu ne vois pas que je t’offre tous mes trésors ? Paul s’agenouille derrière elle, lui écarte les fesses des deux mains pour la dilater le plus possible et, sans coup férir, plonge en elle d’un seul élan… — Ouuuh ! Le salaud ! Comme il m’embroche ! Heureusement que le passage est bien lubrifié, sinon j’aurais senti ma douleur ! Qu’elle est bonne, ta pine dans mon cul… Vas-y, casse-moi le pot, fais-moi grimper au ciel ! L’homme va-et-vient en elle, de plus en plus fort ; sa queue sort entièrement de son antre puis le défonce à nouveau, le gland vient buter sur le sphincter, ...
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