1. Les ouvriers d'en bas


    Datte: 20/11/2017, Catégories: Partouze / Groupe Première fois

    Depuis deux semaines il y a un chantier à coté de chez moi ; tous les matins et tous les soirs je passe devant les ouvriers qui me saluent et s'écartent pour me laisser le passage. Je sens bien qu'ils me reluquent dans le dos et je lis sur leur visage un peu de lubricité lorsque je les croise sur le trottoir ; mon jeune corps -j'ai 22 ans- tout en formes ne les laisse pas indifférents. En ce moment je suis excitée pour un rien, et je me suis prise à me masturber violemment en les imaginant autour de moi. Mais aujourd'hui, tout va basculer. Il est assez tard -dans les 19 heures- lorsque je remonte la rue en rentrant de la fac jusque chez moi. Il fait bon et je porte une jupe portefeuille qui dévoile mes cuisses avec le vent, et mon petit chemisier échancré laisse une bonne vue sur mes seins rebondis. Les ouvriers sont presque tous partis, il n'en reste que trois, deux jeunes et un vieux à casquette qui fument une clope avant de rassembler leurs affaires sous l'échafaud. Un des jeunes m'avise et lance un sifflement ; le vieux lui donne une calotte sur la tête.« Laisse passer la demoiselle au lieu de penser à des cochonneries ! » Emoustillée, je réponds en souriant :« Ce n'est rien, c'est plutot flatteur... » Le vieux me propose alors de boire une bière avec eux. Nous parlons de leur chantier, je m'assied sur un parpaing sous l'échafaud et allume une cigarette. Je me sens très bien, la température est très agréable et le coin est calme.« Alors, ça fait longtemps que vous ...
    ... habitez ici ! » lance un des deux jeunes. Je réponds que ça fait presque deux ans, que j'ai un très bel appart et que je me sens bien dans ce quartier. L'autre hoche la tête en souriant.« Les gars du garage en face de chez vous apprécient également croyez-moi. » Pendant une seconde je le fixe interloquée. Il me regarde fixement, et ses yeux glissent sur ma poitrine.« Ils nous ont beaucoup parlé de ton... anatomie. » Je rougis, sans relever le tutoiement, toute à ma confusion ; il m'arrive très souvent de vaquer à mes occupations en soutien gorge et culotte et les mecs du garage en face de mon salon n'en perdent pas une miette, je le sais et j'en joue même, cela m'excite de savoir qu'ils me matent mais je ne pensais pas qu'ils en parlaient aux étrangers -naïve. Je ne dis toujours rien, je sens ma respiration s'accélérer sous les regards insistants des trois larrons.« Ils t'ont meme vue te branler petite cochonne... » Je suis surprise : le plus souvent je ferme mes volets avant de me masturber, mais il est vrai que j'oublie parfois, mais je ne pensais pas avoir été vue. J'avale ma gorgée de bière et me lève pour partir ; soudain je réalise que si je reste je vais perdre le contrôle sur ce qui peut se passer. Mais un jeune profite du fait que je me sois levée pour mettre sa main sous ma jupe et me caresse la fesse. Un frisson me parcourt tout le corps : je ne bouge plus.« Ecoutez, je...- T'en fais pas ma poulette, t'es bien en manque mais on va te remplir assez pour que tu tiennes une ...
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