1. Aire d'autoroute


    Datte: 15/09/2019, Catégories: Première fois Vos histoires

    Je me dirigeais sur Paris pour un premier entretien d'embauche. J'avais pris ma voiture pour être libre de mouvement. J'avais tout mon temps. À quelques kilomètres de la capitale je me suis arrêté pour prendre un café et soulager mes besoins dans une aire d'autoroute. J'ai pris un petit noir avec une chocolatine et me suis dirigé vers les toilettes. En entrant je me suis déshabillé et pris place sur la lunette. Sur le mur il y avait un petit carton fixé par une vis. Je ne savais pas pourquoi il y avait ce truc pourtant il y avait des numéros de téléphone écrits au crayon à papier avec la mention "Appelle-moi". Soudain, j'ai vu le carton pivoter laissant apercevoir un trou de dix centimètres de diamètre. Quelqu'un devait le manipuler de la cabine voisine. Intrigué je regardais par le trou et me trouvais face à face avec un gros gland qui avançait lentement et pénétrait l'ouverture que je venais de découvrir. Une queue de bonne dimension ressortit de mon côté. Excité, je tâtais du bout des doigts le sexe turgescent. Il était très raide et chaud, il avançait et reculait lentement. J'ouvris la bouche et commençais à sucer le bout du gland qui tressautait sous ma langue. J'arrivais en l'engouffrer complètement entre mes lèvres et je me mis à pomper cette queue inconnue. C'était ma première fois que je suçais une queue et étrangère de surcroît. Plus ça allait plus ...
    ... j'y prenais du plaisir. Ma langue râpait le frein et mes lèvres épousaient  toutes les nervures du membre. je m'étais mis à genoux pour être plus à l'aise. J'ouvrais grand la bouche pour qu'elle pénètre bien et je pinçais les lèvres quand elle se retirait. J'entendais gémir le propriétaire de l'engin et d'un seul coup la queue gicla de plusieurs saccades de sperme que je déglutissais au fur et à mesure. Il y en avait beaucoup de jus et j'ai aimé le goût. J'ai continué à le pomper jusqu'à ce qu'elle ramollisse et doucement, luisant de salive et de sperme mélangé elle se retira. Je repris ma position sur la cuvette tout ébahi de ce qui venait de m'arriver. Quelques minutes après, par l'ouverture j'ai vu deux doigts qui m'invitaient à venir. Encore tout excité, je me suis levé et j'ai glissé ma tige dans le trou. Aussitôt une bouche aspira mon gland. Elle était chaude et pleine de salive. Mon suceur était moustachu et je sentais ses poils me chatouiller le ventre quand il prenait tout dans sa bouche. C'était délicieux et je faisais tous les efforts pour faire durer le plaisir, mais rapidement je lâchais tout mon sperme dans cette pompe improvisée. Il continuait à sucer et à aspirer jusqu'à ce que mes bourses soient vides. Quel coït ! 
    Je suis ressorti des chiottes mais la porte de mon voisin était entrouverte et je n'ai jamais su qui m'avait donné autant de plaisir. 
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