Les pissotières. - Histoires de Sexe

Les pissotières.

Avec mes parents nous étions en vacances dans le centre de la France dans une charmante ville de province. La vie est bien différente de celle de la capitale. Un soir nous sommes allés au cinéma dans une salle comme il s'en faisait autrefois avec la distribution de glaces et de bonbons à l'entracte. J'étais gamin et j'appréciais ce côté vrai de la cité campagnarde. Donc entre la publicité et le film il y avait un bon moment pour se désaltérer ou faire pipi. J'étais sorti sur la place pour fumer une cigarette en cachette et j'en ai profité pour aller au pissotière. Il y avait une rangée de faïences bien assez haute pour moi mais tant bien que mal j'arrivais à poser ma petite queue sur le bord et me vider. À ce moment là, un homme est rentré et est venu juste à côté de moi pour faire la même chose. Il sortit son engin bien plus gros que le mien et s'est mis à uriner d'un jet puissant. Il tournait la tête vers moi et souriait et je répondais de son sourire par un rictus de complaisance. "Je vais t'aider" me dit-il" : il saisit mon petit appendice, le décalotta et le maintient pour que vide ma vessie. J'étais gêné mais me laissais faire. Sa main était douce et à son contact je me mis à bander. "Oh ! regarde ce petit cochon, elle durcit cette petite queue". J'étais rouge de confusion de voir cet étranger toucher mon sexe. "Vient, me dit-il" : il m'attira vers un chiotte et referma ...

... la porte derrière lui. J'étais prisonnier mais je ne m'affolais pas et j'étais décidé de me laisser aller pour cette nouvelle aventure. L'homme, la quarantaine, propre sur lui avait une voix conciliante et douce. Il défit les boutons de mon short et d'un geste le baissa avec mon slip. Je me retrouvais seul face à cet homme que je ne connaissais pas. "Il faut que je parte, mes parents m'attendent au ciné" lui dis-je. "Ok petit";  il se mit à genoux et commença à sucer mon sexe tendu. Il s'extasiait devant ma tige raide très tendue et reprenait sa suce avec délicatesse. Le plaisir montait de plus en plus et je crachais rapidement quelques gouttes de jus dans sa bouche. Il me rinçait bien en pinçant les lèvres. Puis il se releva et me dit : aller, fais la même chose, tu verras c'est bon." Je m'exécutais et en ouvrant grand la bouche je pus prendre son gland chaud sous ma langue et je le pompais comme un esquimau. Il lança un gémissement et éjacula un flot de sperme dans ma bouche que je recrachais aussitôt. Il m'aida à me relever et me dit : demain si tu n'es pas loin je serai là et je t'attendrai au même endroit dans l'après midi. Je remontais mon slip et mon short, remettais de l'ordre dans mes effets et je rejoignis en courant la salle de ciné. Je me suis fait engueuler par mon père qui s'est dit inquiet. Le lendemain je suis aller aux pissotières et l'homme m'attendait...