Rond point des gilets jaunes;
Datte: 22/09/2019,
Catégories:
Oral
Vos histoires
Nous étions plusieurs à tenir la permanence à un rond point avec les gilets jaunes. Adrien, le plus jeune avec qui j'ai conversé maintes fois, se penche vers moi et me dit "J'ai envie de pisser, où faut-il aller". Je lui désigne un petit sentier et lui dit "tu suis ce petit chemin et tu trouveras des fourrés". "Oui, mais j'ai peur d'y aller tout seul, tu veux venir m'accompagner ?" "Ok, lui dis-je, je t’accompagnerai dès que la relève sera arrivée". On attends cinq bonnes minutes et nos compagnons partis se désaltérer reviennent. On échange quelques blagues et nous nous dirigeons vers le petit bosquet non loin de là. "Reste près de moi, j'ai trop peur". "De quoi as-tu peur ? lui répondis-je". Dans la nuit j'ai toujours peur quand je suis seul et çà depuis que je suis tout petit". "D'accord je reste près de toi".
Il baisse sa fermeture éclair et sort sa petite bite que je peux distinguer avec une petite clarté et qui se met aussitôt à couler, il en avait vraiment besoin, le jet coule et j'ai l'impression qu'il ne s'arrête pas. Puis quelques gouttes une par une descendent en claquant les feuilles mortes. "Dis donc, tu en avais besoin". Il souffle et me répond "Oh oui, regard ça coule toujours". Je me penche et je distingue sa petit queue à moitié décalottée mais dressée. "Mais tu bandes ma parole Adrien !" "Oui c'est de ta faute" me répondit-il. "Comment de ma faute ?" "Tu es tout près et tu me regardes et ça m'excite !" "Tu veux que je t'aides ?" "Si tu veux et j'aimerai ...
... bien". Je mets un genou à terre et approche mon visage de son bassin. J'avance la main et saisis entre deux doigts sa petite quéquette. "Hum, elle est mignonne !" "Oui, et elle aime bien ta main". Je la caresse, finis de la décalotter et j'approche mon visage pour la prendre en bouche. Je l'engloutis complètement et la suce lentement. "Vas doucement, s'il te plaît car je suis très sensible". je me délecte et le pompe avec plaisir. Sa petite tige glisse bien entre mes lèvres. De la main libre je caresse ses boules que j'ai extirpées de son slip. Je l'entends gémir "Oh, que c'est bon et délicieux ce que tu me fais là !" Son corps se raidit, arc-boute et je reçois un flot de sperme dans mon palais. J'avale aussitôt ce nectar épais et onctueux jusqu'à la dernière goutte. Il avait posé ses deux mains derrière ma tête et m'attirait vers lui comme pour s'enfoncer plus loin dans ma gorge. "Je n'ai jamais autant joui, tu sais !". Il remet ses vêtement en ordre tout en me remerciant et me dit "baisse ton pantalon, je te faire la même chose". Je bande déjà comme un malade et sors ma bite tendue vers lui. Il se met à genoux et se jette comme un mort de faim sur ma bite enflammée. À la façon qu'il me suce, je m'aperçois qu'il n'en ait pas à sa première bite. Il promène ses lèvres le long de mon membre, titille le gland avec la pointe de sa langue et suce délicatement en l'enfonçant au maximum dans sa bouche. La sève monte inexorablement et je déverse tout mon jus sur sa langue. Il continue à ...