La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 676)
Datte: 20/11/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... sont ces cloques et boursouflures sur cette chatte et ce trou ? - Rien de grave, mon cher Walter, simplement quelques frottements d’orties passés ici ou là. Répondit le Maître avec un sourire malicieux. Le Noble interpella Son esclave d’un claquement de doigt. Endymion MDE approchait près de lui, tête baissée, bras croisés dans le dos. Monsieur le Marquis l’attrapa par sa nouille, la lui souleva, la lui retroussa, pour bien dégager son gland. - Regarde Mon cher Walter, ce chien lui aussi à de beaux œdèmes sur sa queue, son gland et ses couilles. Ma grand-mère, la Marquis Angèle-Marie-Antoinette d’Evans me disait toujours qu’il n’y avait rien de mieux pour la circulation sanguine que des piqûres d’orties… Walter palpait sans ménagement la bite et les burnes du chien MDE, puis ordonna à chien docile de venir lécher les génitaux d’Endymion MDE. - La mienne, ma grand-mère disait, langue de chien vaut mieux que langue de médecin ! affirmait le Majordome en riant…. Maximilien croyait rêver, il n’imaginait pas un instant qu’un univers aussi vicieux et pervers puisse exister. Il regardait, avec de grands yeux, les deux dominants joués avec celles soumises et heureuses de l’être, il les entendait humilier ces mâles heureux d’être accablés et bafoués. Tout ça lui paraissait incroyable, il ne l’avait même pas imaginé, même pas en rêve… Evidemment son excitation était à son apogée, son jean déformé… Et visiblement, il ne regrettait absolument pas son nouvel emploi ! Son admiration ...
... envers l’univers de son patron ne cesser pas de s’accroître ! - Te plairait-il mon cher Maximilien de tester l’une de mes deux chiennes ! interrogeait le Maître. Monsieur le Marquis n’était pas dupe, il ne lui laissa même pas le temps de répondre. - Tiens, choisi celle que tu veux et prends là, à quatre pattes, là, devant nous… Ce fut la soumise Laïs MDE qu’il sélectionna… La femelle soumise à regret laissa la queue du Maître, et s’installa au centre de la pièce à quatre pattes, reins parfaitement cambrés, vulve offerte, bouche entrouverte, alors que Maximilien tombait son jean. Sans prier garde, il lui planta son pieu ferme et droit dans la bouche et se fit pomper sauvagement. La langue de Laïs MDE s’enroulait, ses lèvres se refermaient sur ce mandrin de chair et glissait rapidement, elle lui titillait son gland, l’avalait, le recrachait, le faisait aller et venir en elle, enfonçait cette grosse queue le plus profondément possible, la branlant avec sa bouche, avec dextérité et envoûtement … Jamais Maximilien n’avait vécu une telle pipe… Il crut jouir au bout de deux minutes seulement. Il se retira rapidement pour éviter d’éjaculer trop vite. Il s’agenouilla derrière la chienne, posa son sexe baveux tout contre ses lèvres intimes et d’un coup de reins sauvage la pénétra sans plus attendre. Une dizaine de vifs et vigoureux allers-retours suffisait pour que Maximilien perde pied, Il jouissait comme jamais il n’avait joui, en râlant sauvagement tout en accentuant ses coups de ...