Ma prison personnelle. (01)
Datte: 11/11/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Vos histoires
... son jouet, j'ai poussé fortement en arrière, lui ouvrant la route vers mes entrailles et comme généralement je suis assez délicat cela l’a surpris et excité et il était prompt à me donner, à m’offrir l’enculade que j’espérais.
Chaque fois qu'il ralentit, je pousse mon visage plus en avant dans les oreillers et mon cul plus en arrière dans ses hanches ; mon désir animal prenant le relais ayant besoin de plus, de plus dur, de plus vite et je pouvais sentir une ligne droite et directe de sa bite à mon cerveau ; tout ce que j’arrivais à penser, c'était que cela ne pouvait pas s’arrêter !
J'écartais les jambes pour lui donner le droit d'aller plus loin dans mes tripes et lui ensuite les a mises l’une contre l’autre pour que j’enserre au maximum sa bite et j’essayais de suivre sa cadence, mouillant sans cesse les draps de mon pré cum. Et me rendant encore plus fou.
Me faisant tourner sur une hanche, il mit l’autre jambe dans son dos découvrant ainsi de nouvelles chairs à électrifier et nous sentions, nous savions tous les deux qu'il se rapprochait de son point culminant et je voulais bénéficier et sentir l’inondation qu’il allait m’offrir :
—Inonde-moi, Remplis-moi. Comme tu le veux, quand tu le veux. Fais, de moi, ton jouet !
Il est sorti un court moment, m'a retourné sur le dos, a accroché mes jambes derrière mes coudes et m'a pilonné avec une nouvelle énergie, sous de nouveaux angles et encore plus de folie. Je suis presque sûr qu’il criait quand il m’a rempli mon cul ...
... mais ma mémoire devenait brumeuse grâce à l’extase que je vivais, que nous vivions. Sa bite était encore plus grosse à mesure qu’il atteignait le sommet et la seule chose dont je me souvienne c’est que c’était bon et absolument sublime et que je me sentais aux anges.
Une fois qu'il en a eu fini, j’ai enroulé mes deux jambes autour de sa taille, ne lui permettant pas de sortir d’un centimètre ; je voulais qu’il reste en moi, je le voulais tout à moi et bien qu’épuisé, je voulais qu’il me monte encore me poussant au-delà de mes limites.
Quand nous sommes tombés l'un sur l'autre, j'ai été envahie par l'amour, par le bonheur ; c’était parfait, je le pense ! Pourquoi mettre tout cela en danger en lui demandant de m'enfermer et peut-être l'offenser juste avant qu'il ne parte, juste au moment où nous sommes si heureux dans la situation actuelle. Rien ne pourrait être mieux, et je ne voudrais rien d'autre.
Nous nous sommes câlinés pour nous endormir et j'ai laissé ma boîte secrète dans le placard.
Et me voici ce matin, moi, seul avec ma bite dure, luttant contre la tentation de mon ancienne routine. Je ne me suis pas touché, cette fois-ci ! Je laisse mon érection se presser contre les draps, frétillant et oscillant de haut en bas, s’efforçant de trouver tout type de stimulation. Mais j’ai pris mon portable et j’ai lu les nouvelles et je n’ai pas ouvert de site porno !
Et finalement, elle a abandonné et s'est adoucie grâce à ma négligence. C'était une petite victoire mais éphémère ...