1. Ma prison personnelle. (01)


    Datte: 11/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires

    ... dimensions sont assez proches de de mon service trois pièce quand je suis au repos ; je me suis dit que cela devrait paraître normal, peut-être juste un peu rembourré comme si je portais un Pampers !
    C’est ce que je pensais ! Mais je pensais mal !
    Discret ? Non. D'une part, l'anneau de pénis tire constamment tout dans tous les sens de mon corps ; c'est comme se promener tout le temps avec une queue qui bande plus ou moins et cela même quand je ne bande pas. Et le cadenas qui rebondit sur ma tige et m’envoie de petites vibrations à chaque pas. Ma bite ne peut pas devenir dure, mais elle essaie, et quand le sang se précipite dans cette direction, tout s’aggrave encore plus.
    Quand j’ai ouvert la porte au livreur qui m’apportait des pizzas, moi, évidemment je savais que je portais la cage et je devais donc avoir un renflement dans mon froc  et le gars allait sûrement le voir et se poser des questions. Ce n’était donc pas une bonne affaire.
    Je priais pour que les yeux du livreur ne tombent pas directement sur mon entrejambe dès que j’ouvrais la porte…Bien que cela pouvait avoir quelque chose d’excitant. Mais dans un réflexe de pudeur  j'ai attrapé la nourriture,  je l'ai remercié et j'ai refermé la porte aussitôt. 
    Je dois avouer que je n’ai pas encore osé sortir de l’appart bien que  je sois à la fois très excité à l’idée de devoir sortir mais aussi inquiet d’être ainsi à la vue de tout le monde.
    Peut-être que tout est dans ma tête et je sais que c’est définitivement dans ...
    ... mes pensées. La preuve, je me suis réveillé plusieurs fois avec des rêves chauds et pesants la nuit dernière. Chaque fois le même rêve : je ne porte que mon petit caleçon avec un énorme renflement très raide. Un magnifique étranger tout vêtu vient vers moi et je repousse ses avances et lui n’arrête pas de s’approcher, moi de reculer. Tout à coup, je ne sais plus où aller, sa main atteint mon caleçon, il sent la cage et il me fait un sourire étrange… Et je me réveille suant et faisant des efforts pour supporter ma cage trop remplie.
    Je n'ai encore jamais vu autant de pré cum dans mon pyjama. Mon pré cum s’évade par la pointe de ma cage en un long fil tout visqueux et que ma queue soit molle  ou dure, il n'y a pas et de différence et mon corps ne peut pas le cacher : en un mot, cette nouvelle captivité me fait mouiller énormément ! 
    Est-ce la quantité d'énergie sexuelle refoulée que je transporte depuis tout ce temps ? Je ne m'en rendais pas compte, car avant la cage,  j'avais le libre accès à ma bite pour gérer cette énergie quand je le voulais !
    Clairement,  il est raisonnable, même impératif pour moi d’être encagé si je veux perdre mon animalité !  
    Je devrai m’y faire, je devrai me montrer car je ne peux rester enfermé ici tout al journée ; j’ai des courses à faire et effectuer quelques travaux bénévolement. En un mot, je dois m’y habituer. C'est ma nouvelle vie et je ne sais pour combien de temps.
    Et qui sait quelles idées mon petit ami aura au moment où il reviendra à ...
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