Chauffeur. - Histoires de Sexe

Chauffeur.

Je devais traverser une partie de la France et j'avais décidé de partir très tôt pour me rentre à destination.  Parti à 3h du matin je roulais allègrement jusqu'à 7h. Je fis un arrêt dans une station d'autoroute pour me délasser et prendre un petit déjeuner. Je commandais mon café et un croissant. Une fois repu je me dirigeais vers les toilettes pour me soulager. Au hasard je choisis une cabine et fermais la porte à clé. Avant d'entrer j'avais remarqué un va et vient de chauffeurs routiers venu emprunterreur les sanitaires pour faire leur toilettes. Ils avaient sous le bras une trousse et des serviettes. Un des chauffeurs quitta la salle de douches et en slip prit le chiotte à côté du mien. Il y avait un grand espace entre le sol et la cloison et j'ai cru deviné que mon voisin se masturbais. Je voyais l'ombre d'un bras qui secouait en cadence. Ça m"à aussitôt excite et je me suis penché pour mater. À ce moment là je fus face à  face avec mon voisin qui avait eu la même idée que moi. Il était à genoux et secouait son membre. Sachant que je l'avais vu il s'avança vers l'unstall et sa queue dressée franchit la mini-cloison m'offrant son chibre appétissant. 
Je me suis mis à genoux pour me mettre à portée et j'ai saisi ce membre turgescent. Il était chaud et bien fait. Son glande de forme oblongue me plaisait et m"appelait à la dégustation. ...

... Après avoir bien tâter ce sexe et ses boules pleines je me suis penché et j'ai pris dans ma bouche cette bite au goût de savon. Mon gars agita ses reins et se servait de ma bouche comme un vagin. Quelle était bonne cette queue et je m'en régalais. Le plat de ma langue agaçait le frein prononcé et mes lèvres épousaient le membre veineux de mon chauffeur. À chaque fois que je variait ma caresse buccale il lâchait un petit gémissement. J'étais bien. Je degustais ce membre opportun qui s'agitait dans mon palais. Jouant simultanément de ma main de ma bouche et de ma langue je finis par faire cracher ce sexe de plusieurs saccades de sperme. Avec délice j'en avalais le maximum. Le cri de l'homme en rut ne laissant aucun doute aux hommes de passage. 
Une fois soulagé la queue disparut de l'unstall et j'entendis l'homme se reculotter. Moi aussi je m'étais redressé mais je vis le bras de mon bonhomme me faire des signes pour que je me mette à portée, accompagné de vocabulairesa que je ne connaissais pas. Je me remis à genoux et offris ma queue à l'étranger. 
Il aspira ma tige comme un mort de faim et la suca avec gourmandise. Il sucait magnifiquement bien et j'aurais voulu qu'il ne s"arrete jamais. Mais c'était tellement bien que je fînis par lâcher tout mon jus dans sa bouche. J'aurais bien aimé une sodomie mais chacun devait reprendre la route.