La ballade du jeudi. - Histoires de Sexe

La ballade du jeudi.

Par indiscipline je fus placé dans un collège à la tenue rigide. Bien sûr je retrouvais les garçons comme moi, rebelle et intrépide. Fabien fut tout de suite le garçon avec qui j'allais m'entendre. De la même taille que moi donc pas très grande mais le regard insolent ou effronté. Nous étions en cinquième et lui comme moi nous cherchions l'insolite à défaut d'aventure. Il n'était pas rare que nous nous retrouvions certains après-midi comme le jeudi collés. Nous ragions, pas d'être collés mais d'être privés de promenade donc de liberté.
Mais un jeudi du moi de mai nous n'étions pas punis et nous avons suivi le reste des élèves en ballade. Le curé nous amenait sur les lieux et nous donnait quartier libre pour deux heures à condition de ne pas sortir du bois désigné. Suivi de Fabien je m'aventurais sur un chemin loin de notre surveillant et des autres qui nous exaspéraient. Je me tourne vers mon camarade et lui dit : "Et si on grimpait à cet arbre ?" un magnifique chêne dont on ne voyait pas le sommet. Je m'élançais le premier suivi de près de Fabien. Nous avions des shorts assez larges et il fallait faire attention de ne pas s'accrocher pour ne pas bloquer notre ascension. Arrivés presque au sommet soit à plus de 25m, alors que j'écartais les jambes pour atteindre l'ultime branche, je sentis la main de mon camarade le long de ma cuisse et se diriger vers mon service trois pièce.
- Que fais-tu Fabien ?
- Il y a un moment que je vois tes roubignoles sous mon nez et j'avais ...

... trop envie de les toucher.
- Je veux bien, mais à condition que je fasse pareil.
- Bien sûr ! me dit-il.
J'avais toujours la même position et Fabien me caressait mes boules et ma queue érigée. J'ai aimé cette caresse et Fabien s'appliquait avec douceur. Il sortit ma petite queue par la jambe du slip et je sentais son souffle sur cette partie intime.
- Je vais lui faire un bisou, me prévient-il. 
Comme je ne répondais pas je sentis ses lèvres sur mes testicules, il me faisait des petits bisous puis me lécha puis les mit dans sa bouche. C'était divin ! Mon camarades promenait ses lèvres sur tout mon sexe, insistant sur le frein du gland qu'il venait de décalotter. Il ouvrit grand la bouche et prit mon sexe qu'il suça comme un sucre d'orge. Je me cramponnais après les branches qui me soutenaient. Un plaisir immense que je n'avais jamais ressenti mais Fabien avait l'air d'être plus expérimenté que moi. Mon camarade s'activait sur mon dard et finit par ressentir une brûlure agréable suivi d'une décharge de jus que je ne pouvais maîtriser.
Fabien continuait à sucer tout en avalant le jus qui en émanait. La jouissance extrême que je venais de ressentir s'estompa peu à peu et ma petite queue perdit de son volume. Fabien tout sourire me regarda : "Elle est délicieuse, ta queue !" Moi j'étais gêné, un peu honteux, mais heureux d'avoir ressenti un tel plaisir. 
Fabien finit sa montée et agrippa une branche plus élevé de manière que son bassin se présente face à mon visage. D'une ...