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Saoûl
Datte: 12/04/2020, Catégories: Première fois Vos histoires
Nous arrosions nos bacs avec une grosse fête. Nous étions heureux d'avoir décroché ce "grall" qui nous permettait d'accéder à la Fac. J'avais déjà choisi ma direction et c'est le droit qui m'intéressait et je m'étais inscrit au préalable en espérant obtenir ce Bac. Ça y est, j'étais reçu et je comptais bien prendre une bonne cuite pour sacraliser ce moment avec les copains. Les heures et les bouteilles ont défilé et je me suis retrouvé dans un fauteuil ne sachant plus où j'en étais. Quand j'ouvrais les yeux, tout tournait autour de moi et je n'étais plus moi même. Dans une demie conscience j'entendais des voix dont une qu'il me semblait reconnaître, celle de Bastien. Un garçon que je connaissais depuis longtemps mais avec qui je n'avais aucun atome crochu. Je sentis qu'il me soulevait et m'entraînait dans sa voiture. Il m'installa sur la banquette arrière où je m'effondrais inconscient. Dans ma demie conscience je trouvais le parcours long. Quand la voiture s'arrêta, il ouvrit ma portière, me dit quelques mots que je ne comprenais pas mais je lui exprimais l'envie de vomir. Il m'extirpa du véhicule brusquement et je vidais mon estomac sur la pelouse qui s'offrait à moi, puis je tombais provisoirement dans un certain coma. Bastien me tira le bras et l'épaule et me traîna dans une maison. Il me parlais gentiment et me prévenais des obstacles parcheminant notre parcours jusqu'à une chambre. Je fus hissé sur un lit dont j'appréciais le confort et le moelleux. On m'enleva mes ...
... chaussures, ma chemise, mon pantalon et mon slip pour me retrouver nu. Bastien arrangea ma tenue et à travers un voile je vis qu'il se déshabillais et c'est nu qu'il s"allongea à côté de moi. J'appréciais son corps chaud contre le mien. Je ne comprenais pas ce qu'il me disais mais il prononçait des mots avec douceur. Peu à peu je repris un peu conscience quand une main commença à caresser ma poitrine. Est-ce l'alcool qui se dissipait mais j'appréciais cette main qui se promenait sur mon corps. Mon cou, ma poitrine, mon ventre puis sur mon pubis. La main saisit mon sexe qui empoigné prit de la consistance. La main me branlait doucement décalottant et recalottant mon gland ; je me livrais à ces caresses avec plaisir. La main caressa mes boules et je sentis une bouche gober mon bout. J'étais sucé avec des lèvres douces et une langue qui jouait et titillait le frein. Ô que j'aimais cette fellation ! Cette bouche s'enfonçait et prenait tout mon sexe. Malgré mon état j'étais complètement excité. Soudain, je sentis sur mes lèvres le gland de mon caresseur qui tout en me pompant avait mis son bassin à hauteur de ma bouche. J’entrouvris la bouche et aspirait cette bite fine et lisse. Mon suceur ondulait du bassin et allait et venait entre mes lèvres. À mon tour, je suçais, aspirais ce membre inconnu. J'avais conscience que je suçais et que j'étais sucé. Je ne sais pas combien de temps dura notre 69 mais j'aurais voulu qu'il ne s'arrête jamais. Mais je fus le premier à lâcher mon jus bu ...