-
Pension
Datte: 26/04/2020, Catégories: Gay Vos histoires
Je venais d'arriver dans la pension de curés où mes parents m'avaient inscrit. On désigna la chambre et ceux qui devaient la composer, à savoir Fabien et Arnaud. Je salue mes nouveaux camarades et je range mes affaires dans l'armoire qui m'était destinée. C'était le premier jour mais l'entente et la rigolade était de mise. Nous avions le même âge mais nous n'étions pas dans la même salle de classe. Moi j'étais le nouveau qui venait de loin et les deux autres se connaissaient depuis l'enfance. Nous sommes descendus pour le dîner et nous avons chahuté. Nous avons regardé la télé un peu puis nous avons décidé en parfait harmonie de monter nous coucher. Fabien et Arnaud se sont précipités pour prendre leur douche et sont revenus avec la serviette autour de la taille. J'ai pris la suite et après une bonne douche chaude j'ai rejoint mon groupe ma serviette à la taille. Mes deux camarades riaient et je présentais une plaisanterie. En effet, dès que j'eus posé ma trousse de toilette il m'attirèrent dans leur coin et pas méfiant je me suis approché. Ils ont tiré sur la serviette et je me suis retrouvé nu devant eux. J'ai protesté mais très vite ils me prirent dans leurs bras et leurs mains actives ont parcouru mon corps. Quand l'un me caressait le buste l'autre s'occupait de mes ...
... fesses et de mon ventre. La tête me tournait et je me laissais aller à cette fièvre subite. Je sentais les bouches parcourir tout mon être et très vite ma tige s'est redressée. Me tenant au montant du lit Fabien me léchait le sexe tandis qu'Arnaud fouillait mon entre lobe. J'étais en trans ! Ils se succédaient à me lécher et me pomper. J'ai failli plusieurs fois éjaculer mais mes expert Q savait s'y prendre. Fabien m'avait fait plier en avant pour me prendre, alors qu'Arnaud me suçait. Le plaisir était partout et j'ai cru que j'allais m'évanouir. Il commentaient ce qu'il faisait et je n'entendais rien. Mon sexe et mon œillet était à leur comble, je gémissais de plaisir et mes deux camarades en rajoutaient, l'un en me pilonnant l'autre en me gobant. Ils échangeaient leurs positions en se relayant par devant et par derrière. Avec un cri de bête en rut Arnaud se vida dans le fond de mon ventre en me serrant bien contre lui. Fabien reçut tout mon sperme dans le fond de sa gorge. Il avala tout mon jus en rajoutant des Hum. Ma raie et mon sexe étaient couverts de jus visqueux, un mélange de salive et de sperme, j'étais aux anges. Je suis revenu sous la douche éreinté. Nous avons renouvelé nos galipettes jusqu'à la fin de l'année en multipliant les positions. Nous étions bien.
«1»