L'expérience du Nantaimori
Datte: 22/11/2017,
Catégories:
fffh,
hépilé,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
jeu,
champagne,
... masque, il l’accroche et en profite pour lui montrer son désir. Elle l’entend, sourit et en lui remettant délicatement son masque avec l’injonction de refermer les yeux, elle lui offre un baiser langoureux et sensuel mêlant la chaleur et la douceur de ses lèvres, à l’onctuosité de sa langue, pendant de longues minutes. Le bruit d’un bouchon qui saute les sépare. Du champagne, com… mais il n’a pas le temps de finir de se poser la question que déjà il sent le précieux liquide ruisseler sur son torse. Ne pas bouger surtout, pour ne pas gâcher. Mais aussi pour leur laisser le loisir de s’abreuver sur lui comme cela semble prévu. Il attend, comme à l’affût, la respiration courte. Et tout à coup ce déferlement de langues arrive. Elles glissent sur sa peau, lèchent les bulles qui pétillent sur lui. Elles sont de partout : sur ses jambes, son torse, ses bras, puis son cou… Un doux clapotis remplit la pièce et semble couvrir la musique. Elles renouvellent sans cesse le remplissage de leur contenant improvisé. Celui-ci sent la tension générée par la soirée, se diriger vers son sexe, qu’il avait jusque-là maîtrisé. Mais le bal qu’elles lui imposent est plus fort que lui. Le sang afflue vers son membre viril et le fait frétiller. La feuille qui le recouvrait encore, glisse et leur offre la vision ...
... d’un organe majestueux, comme planté là, pour elles, juste pour leur plaisir. Une cascade de bulles humides ruisselle alors depuis le bout du gland, suivant la veine bleutée, contourne les boules tendues, pour s’arrêter enfin au creux de l’aine, ce réceptacle fait de chair qui va les régaler. Et le régaler ! Tour à tour, telles des femelles assoiffées, elles viennent s’abreuver entre ces plis, aspirant l’alcool à petits bruits et frôlant le royal pénis qui leur rend hommage. Cette douce torture le rend fou et rendant les armes il laisse venir le plaisir et sans un mot, sans un cri, se laisse envahir par une jouissance toute nouvelle. Elles voient alors dans un soubresaut, ce mât puissant et vigoureux, se déverser lentement de sa semence blanche. Comme un volcan entré en éruption. Le jus coule le long de la tige et se mêle aux restes d’alcool, créant des arabesques au milieu des bulles. À nouveau, les lèvres se posent sur lui, aspirent ces délicieuses traînées et le nettoient avec délicatesse. Comme pour effacer toute trace. Leur délicat ouvrage terminé, il les sent s’éloigner, les parfums se dissipent. Il n’entend plus que la musique, elles sont parties. Il reste en contact avec ses sensations, preuves intangibles de ce qu’il vient de vivre. Et la musique s’arrête. Vont-elles revenir ?