Femme BCBG, escorte, non, pute… (132)
Datte: 23/11/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
J’ai laissé Livia et Cotentin dans la chambre du garçon qui souhaite lui faire l’amour une dernière fois avant notre retour à Paris et surtout mon départ dans deux jours pour Moscou avec Ophélie et Katia. Sans oublier Véronique, Marie-Ange, Valériane et ma marraine avec son chevalier servant. Arrivé à la villa de Livia, à la nuit tombante il me prend l’envie de faire un tour avec la 125 de Livia et je viens de descendre la rampe qui me conduit sur la plage. J’ai besoin de sentir le vent du large, nue sur ma peau, j’évite de m’enliser et je finis par mettre les gaz, je prends de l’assurance, j’ai dû dépasser le point où Livia a tâté de la bite d’homme car je vais plus vite qu’hier. J’ai consciente de trop m’éloigner mais la selle qui tressaute sous moi commence à m’émoustiller, j’atteins le plaisir mais je pense que je « peux mieux faire » comme mes professeurs mettaient sur mes carnets de notes tout au long de ma scolarité. Je décélère et je fais demi-tour, c’est mieux, je sens ma chatte ruisseler, arrivé à la rampe que je devrais remonter, mais si le démon de midi existe, celui de minuit je veux le connaître alors je relance ma moto qui semble me donner raison car quand je dépasse ma trace précédente j’arrive à ce que mon corps éclate. J’ai l’impression que Livia et son copain pour fêter la découverte de leur amour tire un feu d’artifice depuis la corniche, j’ai du mal à maîtriser le sexe motorisé qui vient de m’apporter l’orgasme tant espéré. « Tuf, tuf, tuf » J’imite ...
... mal le bruit d’un moteur tombant en panne, mais bon il reste à rentrer en poussant. La tuile à combien de kilomètres suis-je de la villa, inutile de chercher il faut pousser, je comprends ce que sport mécanique veut dire, j’ai simplement oublié que mon godemichet mécanique fonctionnait avec de l’essence et je suis en panne sèche. La moto est aérienne quand je la chevauche cheveux au vent mais c’est un poids mort dans les circonstances actuelles, je pousse, je pousse, elle tombe sur le côté, je tombe à l’inverse, bref je suis dans la galère. Je vois les lumières du village me montrant que je me rapproche, elle tombe et il faut me rafraîchir, la mer est là qui me tend les bras comme mes amants le font quand ils veulent une nouvelle fois mettre leur verge en moi. Je m’allonge quant au loin je vois deux phares se rapprocher, tout le temps qu’ils mettent à arriver à ma hauteur j’ai conscience qu’il me restait plus d’un kilomètre avant d’être arrivé chez Livia et que mon état d’épuisement m’aurait empêché d’y arriver. • Christine, tu prends un bain de minuit. • Fiche-toi de moi Livia, tu aurais dû me dire que ta bécane elle suçait. • Sa bécane je l’ignore, mais ta copine elle suce divinement, pour une fille qui a baisé pour la première fois avec un garçon c’est une sacrée cochonne. • Prends-moi pour une pute, Corentin tu me déçois, pardons Christine pour la pute. • Venez-vous baigner avec que nous réglions mon problème et de vous dire des bêtises. Je les vois se dévêtir car ils ont ...