Didier et la séance photo
Datte: 23/11/2017,
Catégories:
fhh,
couplus,
extraoffre,
cocus,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
pénétratio,
jeu,
yeuxbandés,
couple+h,
cocucont,
... corps. J’ai donc organisé cette séance sans en parler à mon Amour. Prévoyant le jour et l’heure précise. Ce jour-là, c’est-à-dire aujourd’hui, je propose à Christine une séance comme nous en faisons parfois, tous les deux. Je prépare le décor, soit un matelas posé à même le sol et recouvert de tissu noir. Comme souvent, je bande les yeux de ma belle, lui passe une cordelette autour des poignets ; elle est vêtue très classique avec une jupe noire, corsage blanc, soutien-gorge et slip blancs. J’adore ce côté vierge attendant le sacrifice. Lorsqu’elle est en place, à l’heure précise prévue avec Didier, un très léger grattement se fait entendre à la porte, imperceptible, surtout que j’ai eu la précaution de mettre de la musique. Je détourne l’attention de Christine en faisant du bruit avec mon sac qui contient mon appareil et en même temps, j’ouvre la porte en faisant signe à Didier de ne faire aucun bruit. Il enlève son manteau et le pose sur une chaise puis vient près de moi, le regard interrogatif. Mon Amour est allongée sur le lit improvisé, les sens en éveil. Je décide de faire travailler encore plus son imagination et lui souffle à l’oreille : — Nous avons un visiteur qui va être ton partenaire pendant cette séance.— C’est Didier ? demande-t-elle à mi-voix.— Chut… est ma seule réponse. D’un coup les traits de mon Cœur se tendent, comme saisis d’une émotion subite. Le rouge lui monte aux joues, sa respiration se fait plus rapide, soulevant sa poitrine ; elle écoute le ...
... moindre bruit, malgré la musique, pour savoir si c’est une invention de ma part ou s’il y a réellement quelqu’un avec moi dans la pièce. Je m’assois près d’elle, lui pose un baiser sur les lèvres et la rassure, lui disant qu’elle n’a rien à craindre. Comme elle s’apaise un peu, je fais signe à Didier de se poser l’autre côté de Christine. Le léger mouvement si près la fait sursauter. Délicatement, Didier, sur mon indication, pose le dos de ses doigts sur la joue rosie d’émotion. Je commence à déclencher. Les doigts descendent vers le cou, descendent encore. L’œil rivé à l’appareil, je cadre rapidement et déclenche. Je joue du zoom pour faire des gros plans ou des vues plus générales. Lentement, la main descend vers l’échancrure du corsage, défait un bouton, puis deux autres. Il écarte les pans pour laisser voir le délicat soutien-gorge de dentelle blanche. Ses doigts effleurent la peau soyeuse, glissent sous la dentelle, tirent dessus pour faire apparaître un téton tout dressé. D’imperceptibles frissons parcourent Christine. — C’est toi, Didier ? murmure-t-elle encore. Elle a reconnu son parfum, mais l’obscurité où elle se trouve lui laisse un doute. Je m’approche d’elle et lui demande de se redresser légèrement, détache son soutien-gorge dans le dos, fais glisser une bretelle et libère un sein. Elle se rallonge, les épaules bien à plat mais le bassin sur le côté. Didier pose alors sa main sur le ventre et, se penchant sur mon Amour, pose ses lèvres au coin de sa bouche. Je demande ...