1. Chez notre logeuse (3)


    Datte: 23/11/2017, Catégories: Lesbienne

    ... coucher, Sophie a veillé à ce que cela ne deviennent pas un plaisir pour lui mais surtout une corvée. Que ce soit quand il s’occupait de moi ou d’elle, Sophie veillait à le malmener. Elle lui tirait sur le sexe, elle lui écartait les fesses, elle lui tirait la pointe des tétons, elle lui serrait la tête entre les cuisses; même avec un tel traitement on avait l’impression que son souffre-douleur prenait du plaisir. Maintenant, tous les soirs il se couchait avec une de nos robes longues et il avait l’air d’y prendre goût. C’était devenu un automatisme pour le collègue de Muriel, tous les soirs nous avions droit de nous faire butiner, puis Sophie est passée un stade au-dessus en lui glissant son sextoy dans le fondement. Il n’osait pas crier, ni rouspéter, pour ne pas attirer l’attention de notre logeuse, Sophie pouvait en faire ce qu’elle voulait en toute discrétion. Maintenant, Sophie portait plusieurs jours ses bodys et une fois qu’ils sentaient bon la femme, elle lui donnait à porter ensuite. Moi je ne faisais que suivre les initiatives de mon amie, mais semaine après semaine, mois après mois, nous étions en train de faire de Franck une petite pédale. Il y a des soirs où je me posais la question, est-ce que c’était Sophie qui l’avait transformé ou juste aidé à mettre en avant son côté féminin qui ne faisait que sommeiller légèrement en lui. Avec le temps, Franck avait même pris goût au sextoy et il lui arrivait même d’en jouir juste avec les vibrations dans son intimité. ...
    ... Maintenant Franck s’habillait toujours en homme pour aller travailler, mais en dessous nous l’habillions en véritable petite allumeuse. De temps à autre, nous lui mettions un parfum féminin et il trouvait comme excuse au boulot qu’il avait comme colocataires des filles. Muriel sa collègue était là pour confirmer ses dires, avec le temps je me demandais si Muriel n’était pas complice de ce qui arrivait à Franck. Notre colocataire avec le droit maintenant, en plus de nous brouter le minou le soir, de nous sucer la pointe des seins en nous lui demandions, je peux vous garantir qu’avec le temps qu’il commençait à acquérir une certaine expérience dans ce domaine. Le plus dur pour nous c’est que nous étions étudiantes et lui après le boulot il avait du temps libre, beaucoup de temps libre. Il en voulait toujours plus et Sophie gérait la chose très très bien avec fermeté, il fallait accorder un peu de temps au plaisir mais surtout du temps pour étudier. Je repensais à la façon dont Muriel avait découvert que nous étions devenues gougnottes, je me disais qu’il devait lui être très facile de constater que dans la chambre de Franck il n’y avait plus de sous vêtements masculin. À vrai dire quand on rentrait dans sa chambre, au premier regard c’était devenu une chambre de fille, j’étais étonné que notre logeuse ne l’ai pas constaté. La fin de l’année scolaire était en train de poindre son nez et nous avions fait de Frank une véritable de petite soumise obéissante et docile, rien que pour ...
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