L'escalier de la luxure...ou comment j'ai découvert que ma femme était une salope ! (3)
Datte: 01/07/2017,
Catégories:
Divers,
... femmes ? S’il est vrai que ma mère déployait un caractère de chien et des mauvaises manières chez nous, d’ailleurs pour quelle raison ? Cécile et moi étions des personnes sensées, discrètes et peu revendicatives… il en ressortait que sa haine en retour, presque viscérale envers sa belle-mère se justifiait peu. Cécile aurait pu être, certes, ennuyée et mécontente, mais cela ne justifiait pas les tombereaux d’insultes et de récriminations dont elle abreuvait ma génitrice... cela c’était pour le climat de tension et de haines respectives qui régnait entre les deux femmes. Mais il y avait eu au cours des deux dernières années des petits fait anodins... étonnants vu le contexte. Pour son anniversaire, ma mère avait tenu à acheter de la lingerie à ma femme, et la séance d’essayage en cabine avait duré un certain moment. Alors que ma mère avait tenu à ce que je les accompagna, mon ennui et mon impatience n’avaient fait que croître. Alors, au bord de la rupture nerveuse, j’avais un peu tourné dans les autres boutiques de la galerie marchande. Alors que j’étais revenu et que j’attendais bien sagement prés de la cabine d’essayage, je m’aperçus que ma mère y était enfermée avec ma femme, et que les deux femmes semblaient essayer des modèles en même temps, accompagnés de force éclats de rire et gloussements divers. La pensée de ma mère en petite tenue, faisant essayer des ensembles de lingerie à sa belle fille, sans doute nue, avait enflammé mon imagination fertile... pourtant ...
... quelques jours après son anniversaire, le climat s’était à nouveau tendu entre les deux femmes, ma mère se laissant à dire que : “ voilà ce qui arrivait quand on avait trop de générosité à l’égard de petites dindes sans cervelle, qui ne le méritaient pas !” veyvhhxn Une autre fois, alors que nous étions à la plage avec mes parents, ma femme avait reçu un fort coup de soleil sur les omoplates. Alors qu’elle était ennuyée pour se passer de la crème solaire, ma mère se proposa pour lui en mettre. Cette sollicitude inaccoutumée à son égard m’étonna beaucoup. Cécile, allongée sur le ventre, se laissa faire. Ma mère dégrafa son soutien gorge, qu’elle fit glisser vers ses fesses et délicatement commença à passer la crème sur le dos de Cécile, ainsi que sur les côtés. Je pouvais voir ses mains toucher subrepticement ses seins, tandis que Cécile, les yeux clos ne disait rien… Sur toutes ces réflexions le sommeil me prit, et je me levai très tôt alors que tout le monde dormait. Déplaçant ma voiture, comme pour partir au travail, je revins en réalité sur la pointe des pieds et me cachai dans le placard à balais qui donnait sur la cuisine. Connaissant très bien ma mère, j’imaginais, peut être à tort, que sa vengeance s’exercerait sur ma femme, dès son réveil… Alors j’attendis longtemps, très longtemps… et je ne pouvais même pas fumer une clope ! Il était 7h00 quand je pris place dans le compartiment exigu et 10h00, quand arriva ma femme bientôt suivie de mon père dans la cuisine. Celui ci dit ...