1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (17)


    Datte: 23/11/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... bandante… — Ma chère Véronique on peut dire que ce soir tu as pris ton pied, je ne t’ai jamais vue comme ça. Alors demain matin… prête ? En la prenant par l’épaule. — Je viendrai à 5h30, nous aurons notre temps mais ce soir, tu l’as dit, c’était exceptionnel mais ce n’est pas le meilleur moyen pour me mettre enceinte ! Pendant que j’y pense, quand je le serai, qui va être le père ? Inquiète en me passant la main sur le torse. — Mais on en avait parlé, ce sera une aventure sans lendemain et tu n’étais pas protégée. Et puis tu ne vas pas rendre des comptes à tout le monde, c’est ta vie et nous n’en sommes pas là. — Tu trouves toujours les bons mots pour me réconforter, bon je vais monter et je te dis à demain 5h30. En n’oubliant pas de m’embrasser à l’entrée de ma chambre. Sous mon drap je réfléchissais à notre situation. Certes je jouais le type serein vis à vis de ma tante, mais bon nombre de questions me turlupinaient. Mais dans quoi je m’embarquais avec cette idée de la mettre enceinte ? N’était-ce pas un manque de maturité de ma part de faire une chose pareille ? J’avais une influence certaine sur Véronique et elle était partie dans mon délire, convaincue que le fruit de notre amour récent allait inévitablement déboucher sur la naissance d’un enfant. Elle avait mis à la porte toutes les conséquences d’un tel acte, notamment le jugement de ma mère sur sa propre sœur enceinte de son fils, moi. Je pensais également à ses enfants Jules et Oscar, comment allaient-t-ils ...
    ... accueillir une telle nouvelle et quel rôle allais-je avoir au sein de cette famille non pas recomposée mais disons spéciale ? J’allais sur mes 24 ans et je filais le parfait amour avec ma tante de 42 ans, ainsi je décrétais dans mon for intérieur que le fait de lui faire un enfant me paraissait tout à fait légitime. Qui avait le droit de nous juger et de nous interdire de vivre une expérience quasi unique mais absolument immorale ? La société avec ses mœurs, ses lois et le regard de nos proches en était l’unique réponse que je méprisais, que j’ignorais. Je m’endormais le cœur léger. Il faisait presque nuit et en ouvrant les paupières j’apercevais une créature blonde se dévêtir. Nue elle se glissait sous le drap pour se tapir contre moi en passant sa main sur le bas de mon ventre. La lumière de la cuisine était allumée et ma porte entrebâillée m’amenait assez de clarté pour découvrir la magie qui s’opérait. Je ne rêvais point et c’était bien ma tante qui me rejoignait comme convenu. Si un jour on m’avait dit que ma superbe Tatie viendrait se mettre dans mon lit, à poil pour se faire baiser tôt le matin, j’aurais crié au scandale, halte aux hérésies… — Je te réveille Patrick ? En laissant couler sa main vers mes parties intimes. — Non ça va aller, t’as une sacrée forme ! Lui fis-je remarquer tandis que ses doigts flirtaient avec mon membre se raidissant de plus en plus. — Bah je vais aller préparer le petit-déjeuner pour les garçons mais avant je m’occupe du plus grand ! En me branlant ...
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