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Séduction délicate de la soeur de ma mère (17)
Datte: 23/11/2017, Catégories: Inceste / Tabou
... je suis le seul avec qui tu te sens aussi proche. En ayant désormais son intimité au bord de ma bouche. — Oui mais quand même, comme ça je ne peux pas t’expliquer…euh j’ai un peu honte que tu me le fasses parce que je suis ta tante, voila ! En se lamentant à voix basse. — Au contraire, ça prouve que tu as dépassé cette barrière, t’es magnifique à regarder. En débutant des caresses sur ses hanches. J’avais disons une vue panoramique de son corps avec ses seins en guise de crête, puis la descente vertigineuse de son ventre bien plat jusqu’à ses lèvres intimes déjà accolées à ma bouche. Force fut d’admettre que ma tante avait raison sur un point. Cette façon d’être installée au-dessus de moi frisait l’indécence. Le caractère totalement impudique de sa posture donnait cette impression de l’image d’une femme voulant se faire bouffer la chatte. Le hic résidait dans le fait que le principal protagoniste à ses yeux était son propre neveu, d’où ce sentiment de mal-être vis à vis de moi. Très vite je renversais la situation… Progressivement, Véronique se relâchait de par le plaisir procuré par l’attirance de son sexe contre mes lèvres. Son malaise déclinait progressivement avec une respiration se faisant plus haletante. Elle en oubliait cette posture en se laissant choir sur mon visage. Incroyable situation que je vivais puisque j’avais pour ainsi dire le sexe béant de ma tante plaqué à mes lèvres. Ainsi ma langue se faufilait sans effort entre ses muqueuses vaginales attisant ses ...
... sens au plus haut point. — Patrick…Patrick… Soupira-t-elle en se raidissant de tout son corps majestuex. — Oui je sais. En avalant sa substance abondante. — Il faut que tu arrêtes…j’ai trop envie… Dit-elle en se déhanchant avec délicatesse pour s’étendre à mes côtés, jambes pliées. — Tu vois que tu aimes finalement. En dispersant ses cuisses pour accéder à sa source ruisselante. — Tu me fais faire des drôles de truc…oh oui…oui… Gémit-elle en la pénétrant d’une manière exquise, soulagée de me recevoir. — Ce n’est que le début ma chère. En m’agitant entre ses cuisses somptueuses puis en l’embrassant goulûment. Encore une fois nous baisions comme deux sauvages. Ma tante assoiffée de sexe ne fut pas déçue du voyage. Notre coït aux allures infernales dura une bonne dizaine de minutes durant lesquelles j’alternais les rythmes pour finir en apothéose. Elle aimait un finish avec des coups rapides, profonds, intenses pour aboutir vers une jouissance démultipliée. Ce fut le cas. Ivre de bonheur, elle resta à mes côtés me faisant part de ses états d’âme. — C’est inouï avec toi…pfff…t’es increvable ! Dit-elle en âge, le corps brillant. — T’es pas une triste non plus et je te rappelle que depuis que tu as arrêté la pilule, bah t’aime ça ma Tatie. En reprenant mon souffle. — Et moi qui t’avais dit qu’on ferait l’amour, j’aurais dû te dire que tu allais me baiser matin et soir. Ah oui avec toi j’aime ça et tu peux t’en apercevoir…quand je pense à ta mère Anne. Si elle savait, je n’ose pas y ...