1. Panpan cucul (4)


    Datte: 23/11/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... accroît son bonheur, elle espérait cet instant depuis si longtemps. Désormais j’endosse totalement mon statut de dominateur, je suis le souverain de sa libido licencieuse, j’assume chaque violence, chaque coup que je lui assène, chaque plaies que je trace sur son derme. Je la fustige avec facilité, je m’en croyais pas capable et bien si. Je la bats et elle n’est plus que beuglement de ravissement. Elle jubile à chacune de mes brutalités, je la dresse, je la punie et elle se régale. Je ne retiens pas ma férocité, j’y vais franchement, je vais recouvrir toute ces marques et y apposer les miennes. Son dos est en sang, son fion est écarlates, bleu, couvert d’ecchymoses et je frappe avec toujours le même enthousiasme. Ma mère sous la flagelle beugle sans discontinuer ses orgasmes et sa jouissance si puissante m’encourage à poursuivre, à lui montrer tout ce que je suis prêt à faire pour la satisfaire. J’ai arrêté de la tourmenter, il est temps pour elle de voir tout ce qui l’attend . Je graisse le manche, j’écarte sa raie et j’enfonce le martinet dans les tréfonds de son fondement. Je le pousse jusqu’au fond. Les sphincters dilatés ont cédés le passage et maintenant un flot de cuir ruisselle hors de son derrière. Cela lui fait une longue queue qui pendouille mais je pousse encore pour engouffrer le bout, je veux que seules les lanières dépassent de sa lune. D’une viveclaque sur sa fesse je viens de lui ordonner de se retourner. Je lui désigne la table, elle s’y allonge en silence. ...
    ... Ses nichons montent et descendent au rythme de sa respiration, elle est essoufflée, en nage, mais je ne fais que commencer. « - Attrapes tes jambes ! », mon premier ordre vient de tomber. Maman a saisit ses guibolles pour les basculer par dessus elle. Ses cuisses sont ouvertes, son minou n’attend plus que d’être châtier. Je tapote sur sa moule avec une cuillère de bois, j’envoie des petites tapes sèches, je tapote sa chatte et peu à peu elle enfle, elle se boursoufle. Sa fente et son clitoris disparaissent dans l’œdème, sa motte est dès lors monstrueusement gonflée. On dirait le sexe d’une guenon en rut. Elle voudrait bien y plonger ses doigts, elle voudrait se toucher, que je la regarde se masturber, elle a tenter de le faire, mais j’ai immédiatement cinglé cette main effrontée. Elle ne recommencera pas, du moins pas tant que je l’autoriserais à le faire. Son intimité ne gonflera plus, mais le résultat est incroyablement excitant. J’aimerai la prendre mais je n’ose pas. J’ai saisi le battoir, j’en teste la souplesse, la gomme est d’une souplesse remarquable, elle va la ravir. La première frappe a été fulgurante, le choc d’une brusquerie atroce, ma mère s’est cambrée sur le plateau et une plainte aiguë a résonné dans la salle. La lame a décuplé ses sensations, elle vient de passer au palier supérieur de la souffrance, celui qui la comble. Je tabasse son con bouffi, je l’entends geindre, pleurnicher également, mais dès que je marque une pause, elle redresse sa tête et me fixe ...