1. Ca a commencé comme ça ! (21)


    Datte: 23/11/2017, Catégories: Zoophilie,

    LA VISITE DE CHANTIER. Pour écrire ce récit, j’ai demandé à Lucie et Monique de rassembler nos souvenir de cette première visite de chantier, qui fut suivie, vous vous en doutez de nombreuses autres. C’est donc un texte écrit à 6 mains . Nous avions, à cette époque, une sexualité débridée, un peu moins maintenant, l’âge venant ! Il faut dire que Dany avait initié la petite pucelle ignorante que j’étais lors de notre rencontre, à une sexualité intense, sans tabous ni limites. Son acceptation à ce que Lucie, puis Monique ensuite, viennent se joindre à moi pour former le trio de ses femelles, ses petites putes, comme il disait, a encore exacerbé notre penchant pour le plaisir des sens . Il connaissait notre bisexualité, tri sexualité devrais je dire, si on ajoute nos amants canins, et l’acceptait sans restrictions aucunes. De notre coté nous savions qu’une de ses secrétaires était sa maîtresse, et que, à ses dires, il arrivait fréquemment que certaines acheteuses reviennent le voir non accompagnées pour soit disant examiner en détail l’appartement qu’elles convoitaient et finissaient par tester pour de vrai leur future chambre à coucher. Il avait des maîtresses, nous avions des amants et parfois des amantes. Pas par vengeance ou déception, non, juste pour le plaisir. Quand nous étions trop demandeuses, il nous disait que nous n’étions que des salopes qui avaient le feu au cul, et cela ne lui déplaisait pas, même s’il nous menaçait -entre guillemets -de nous trainer sur ces ...
    ... chantiers. Ca vous calmera peut être de vous faire sauter par des mecs en rut qui n’ont pas baisé depuis un moment, ajoutait il, sans toutefois passer à l’acte. Aussi, quand une fin de semaine il a téléphoné pour nous dire qu’il ne rentrerait pas car il avait un gros problème à régler, nous avons décidé de lui rendre visite. Notre préparation fut rapide : maquillage léger, queue de cheval qui dégageait bien notre nuque. Coté vestimentaire, chemisier en lin négligemment boutonné pour laisser apparaître la naissance de nos seins, noué à la taille pour mettre en valeur ventres plats et nombrils coquins. Mini jupes en stretch qui cachaient à peine nos culottes en dentelles, moulaient parfaitement nos formes et laissaient nos jambes découvertes à la limite de l’indécence. Enfin, petites ballerines, plus pratiques pour marcher sur un sol inégal. L’image que nous renvoyait le miroir nous amusait beaucoup : trois jeunes femmes au visage d’ange, au regard pur, presque virginal, dans une tenue à damner un saint ! En chemin, notre conversation portât essentiellement sur ce qui allait se passer, toutes les hypothèses furent envisagées. Comment allait il réagir ? Serait il heureux de nous voir ?? Allait il se comporter en mâle orgueilleux, fier de parader devant ses employés entouré de trois jeunes femmes aguichantes ?? Serait il en colère et irait il au bout de ses menaces en nous livrant à ses mecs en rut, comme il disait ??? Monique était très excitée : humm, ! un beau maçon aux épaules ...
«123»