1. Chapitre quatre - Dans la chambre de Camille


    Datte: 23/11/2017, Catégories: fh, amour, volupté, intermast, Oral pénétratio, ecriv_c,

    ... "Là, tu peux me faire confiance…" Oh là là ! Elle pense déjà à s’occuper de moi ; c’est bon signe, ça ! Elle colle alors sa bouche sur mon torse, hume, se frotte et redevient fébrile. — Camille : "Mais qu’est-ce que c’est que ce parfum ? Je perds ma volonté, tu vas me rendre complètement folle !"— Romain (se la jouant sérieux) : "Ca, c’est ma touche secrète mon amour !" Et ma Camille se recolle de plus belle, encore plus excitante – et excitée ! – encore plus désirable. Et moi non plus je ne peux plus attendre, j’ai envie de l’aimer, de la prendre, de la faire jouir… Je m’allonge alors subitement sur elle, passe mes mains sous son top et atteins sa poitrine. Elle a vraiment tout prévu la coquine : pas de soutien-gorge ! Sa respiration se coupe, elle relève la tête et s’exclame de bien-être. La sensation est pour moi presque inénarrable ! Ses fruits, délicats, menus, hypersensibles réagissent à la moindre de mes impulsions. Je les caresse, les masse, titille les mamelons durcis par tant de désir, tandis que Camille fait aller sa tête entre les oreillers, telle un balancier qui serait devenu incontrôlable. Dans la foulée, j’enlève ses escarpins, baisse son pantalon, et ne me contrôlant plus, lui arrache son string ! Avant même que je n’ai le temps d’admirer son minou, presque imberbe, elle me saisit la tête et la plaque violemment entre ses cuisses ! Sublime ! Divin ! Sa moule trempée frétille sous mes caresses buccales ; son clitoris, ses lèvres… tout semble remuer, vivre. ...
    ... Si bien que je me demande même si je vais avoir assez d’une langue pour la contenter ! Mais oui, je suis rassuré ! Camille gigote, transpire… jouit ! Et alors que je me repais de sa cyprine, elle m’arrache de son intimité et tire mon visage contre le sien. — Camille : "Prends-moi mon chéri !" Je n’ai même pas le temps d’enlever mes mocassins ; tout juste de baisser mon pantalon et mon boxer à mi-cuisses ! J’approche mon membre turgescent – et prêt à exploser ! – de sa chatte et la pénètre avec fougue. Camille pousse un cri de plaisir en se crispant à moi. Elle me fait mal mais la douleur est plaisante. Je commence alors à lui faire l’amour, tandis qu’elle passe ses jambes autour de mes fesses, les remonte sur mes hanches, se frotte, se frotte, se frotte… Pour que l’on soit en parfaite harmonie, j’accorde rapidement ma respiration sur la sienne. Mais elle a un sacré tempérament et j’ai du mal à suivre. En fait, ce qui me tourmente, c’est qu’à ce rythme là je vais venir trop vite… Ce qui ne m’empêche pas de la caresser partout sur le corps, de tâter et de peloter son petit cul, de lui dire des mots d’amour exclusifs, qui ne sont sortis de ma bouche pour quiconque avant elle… — Romain : "Ralentis mon amour ou je ne vais pas tenir…"— Camille : "Plus vite ! Je te veux en moi ! Oui ! Vas-y !" Comment résister à une telle injonction ? On ne le peut pas, tiens ! J’accélère un peu ; puis un peu plus ; puis beaucoup plus ! Nos corps sont rutilants de sueur, je n’arrive presque plus à ...