Annabelle raconte : le déménagement
Datte: 24/11/2017,
Catégories:
Anal
Mature,
Nous étions en juillet précisément le jour de mon anniversaire, je venais d’avoir 72 ans et j’étais un peu déboussolée par le fait que nous devions déménager dans les jours qui suivaient, mon mari était parti pour diriger les travaux dans le nouvel appartement et je flânais avec nostalgie dans le jardin que j’allais quitter quand Fabrice, notre jeune voisin marié 35 ans, me dit bonjour à travers le grillage.Toute contente d’abandonner mes pensées moroses, je m’avançais pour discuter et l’informer que nous partions.- C’est malheureux de vous voir partir, vous étiez bien sympas tous les deux, votre maison pourrait nous intéresser, y-a-t ’il moyen de la visiter ?- Mon mari est absent mais il n’y a aucun problème, nous sommes dans les cartons, vous voulez la voir tout de suite ?- Je reviendrai avec ma femme, mais si vous avez du temps ça m’intéresserait de la voir si elle pourrait nous intéresser.- Je vous ouvre dis-je toute contente de cet intermèdeJe lui ouvre la porte, il est mince et à côté de moi, encore plus grand que je ne pensais.Nous visitons en premier le rez-de chaussée, ensuite je passe devant pour lui présenter l’étage ; dans l’escalier j’ai la désagréable sensation qu’il reluque mes fesses moulées dans un short blanc ; effectivement nous sommes à peine à mi étage…- Vous savez que ça fait longtemps que j’ai envie de vous baiser ma belle voisine ?Je me sens coincée dans cet escalier étroit, je ne réponds pas, j’atteins le palier, je me retourne pour lui répondre, il ...
... m’a rejointe, il est sur moi, me prends la tête d’une main et presse ses lèvres sur les miennes pendant que l’autre main enserre mes fesses et me colle contre la bosse de son sexe. Interloquée, j’essaie de me dégager, il me serre encore plus fort ; je me sens toute molle dans ses bras et à ma grand honte, je lui rends son baiser ; sa langue s’enroule autour de la mienne, je sens son sexe battre sur le mien, nous restons un long moment sur le palier serrés l’un contre l’autre jusqu’à ce qu’il ouvre une porte de chambre et aille s’assoir sur le grand lit. Il me regarde avec intensité alors que je suis toujours debout devant lui.- Déshabille-toi !J’hésite et je me dis que c’est sans doute la dernière occasion de ma vie et que ce serai idiot de la laisser passer… Je retire mon caraco bleu, je suis en soutien-gorge blanc ; ses yeux se portent sur mon short, Complètement subjuguée, j’enlève la ceinture, il tombe au sol, je l’enjambe, je suis en petite culotte blanche transparente devant ce presque inconnu. Je pense avec horreur que je n’ai pas fait le maillot depuis longtemps et que j’ai les poils pubiens qui doivent dépasser du slip ; je me dépêche de m’allonger un peu tremblante à son côté, je ne veux pas rester debout pour enlever le soutien-gorge, qu’il voit ma poitrine tombante.De son côté, il retire pantalon et maillot, il est maintenant en slip, un slip déformé par une grosse bosse.Il me prend dans ses bras, nos bouches se rejoignent pour un long baiser, il a sorti un sein de ...