1. Ludo vs Elise - 1


    Datte: 24/11/2017, Catégories: fh, fhh, fbi, hbi, hplusag, fplusag, frousses, gros(ses), groscul, hotel, voyage, volupté, cérébral, Masturbation Oral fgode, nopéné, ecriv_c,

    ... s’était bien passé. Elle l’avait amené dans un endroit feutré et tout à fait charmant, dont le nom très simple, « Terroir », évoquait les plaisirs des produits exquis qu’on y servait, une nouvelle cuisine québécoise raffinée comme on ne l’imaginait pas outre-Atlantique. Ludo, ayant dormi plusieurs heures, s’était remis de ses émotions de l’après-midi. Il n’avait pas affaire à une sotte petite minette, mais à une femme attentive, tout tact et compréhension. Sans mot dire, elle lui avait habilement laissé entendre que ce n’était qu’une parenthèse sans importance, qu’elle l’avait déjà refermée. Il se sentait vraiment à l’aise avec elle. Le décor enchanteur, le vin capiteux, cette présence bienveillante lui donnèrent envie de tout déballer. Aussi, leur conversation avait été un long monologue où pour la première fois Ludo s’épanchait, se vidait. Heureusement pour lui, Élise était une oreille compatissante car elle eut droit à Noël/Noëlle en version intégrale, sans sous-titre, ni censure. Pas seulement compatissante mais aussi rassurante sans être maternelle. Parvenant même, en laissant s’exprimer sa sensualité naturelle, à laisser entrevoir à Ludo une lueur, une promesse. Elle lui caressait doucement la main quand il arrivait à un souvenir particulièrement douloureux, et à la fin du repas, la porta silencieusement à ses lèvres et y posa un doux baiser, comme pour dire « Ça ira mieux maintenant ; cet épisode de ta vie est fini, ton avenir sera tout autre. » C’est ainsi que bras ...
    ... dessus, bras dessous, ils montèrent dans l’ascenseur. À peine la porte de celle-ci refermée, Élise annonça clairement la couleur : elle enlaça Ludo, le colla à elle et lui « imposa » un tendre baiser lascif. Sa langue s’introduisit, sensuelle, entre les lèvres de Ludo qui s’ouvrirent sous cette douce attaque. Elle se contenta de titiller le bout de sa langue et de frôler ses dents. Il se sentait bien et s’abandonna dans les bras de sa compagne. Lorsqu’ils atteignirent la suite, elle lui susurra dans le creux de l’oreille : « Ne t’en fais pas, laisse-moi t’aimer, tu ne le regretteras pas. » Pendant que Ludo allait satisfaire un besoin naturel, Élise posa son sac à main dans la chambre au centre de laquelle trônait un lit aux proportions étonnantes. Deux personnes pouvaient tranquillement y passer la nuit sans jamais se rencontrer. Ludo la rejoignit. Élise reprit son baiser où elle l’avait abandonné à la sortie de l’ascenseur. Cette fois, sa langue franchit la barrière illusoire des dents et se ficha plus profondément dans la bouche, s’enroula autour de celle de Ludo, la soumettant à ses exigences. Elle s’attaqua au boutonnage de la chemise de son partenaire. Celle-ci ouverte, elle la dégagea du pantalon. Dans un geste enveloppant, elle la fit glisser de ses mains caressantes sur les épaules musclées, descendre le long du dos pour finalement la jeter négligemment sur le lit. Cet affleurement ainsi que les frottements générés par la soie du chemisier provoquèrent l’apparition ...
«12...121314...17»