LE REMPLACEMENT. (6/X)
Datte: 24/11/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
... piscine, je reçois la caresse de ses doigts que j’espère plus près de mon sexe comme un don du ciel étoilé. • Regarde une étoile filante, elle va nous porter bonheur. J’appuie mon genou droit contre elle et j’ouvre mon compas, mes cuisses largement écartées appellent sa main, je m’offre comme jamais je l’ai fait dans la vie même avec Vivian au plus beau jour de notre amour. Je gémis doucement de l’attente exacerbée à chaque fois déçue quand sa main redescend. Tout ce que je ressens est concentré entre mes jambes, dans l’humidité et la moiteur croissante de mon sexe, dont je crois même sentir l’odeur musquée. • Te promènes-tu toujours sans culotte ? J’entends mais je suis incapable de lui répondre, perdue dans mes rêves, je me rends compte que plus rien ne bouge autour de moi, bruissement de feuillages, brise sur ma peau, plus rien n’existe que nous deux. Son épaule se dégage, ses deux mains enserrent mon visage me redressant, son souffle sur ma bouche, ses lèvres sur les miennes, si chaudes. Je la serre dans mes bras, me colle à elle autant que je peux, larmes et frustrations oubliées. Je me sens envahie, soulevée, elle s’écarte de moi, ses mains glissent sur mon visage, ses doigts se glissent dans mes cheveux, et me repoussent. Du dos d’une de ses mains elle caresse ma joue, mes lèvres, jusqu’à glisser un doigt replié entre mes lèvres qui s’ouvrent, embrassent et mordent. Sa main libre se glisse entre mes jambes, depuis le pli de mon genou, soulève et tire ma jambe vers ...
... elle, colle mon genou à ses seins. Je suis béante et offerte. Sa main me quitte, une nouvelle fois elle m’abandonne, l’affolement me revient chaque fois qu’elle me quitte. Je gémis, je mords son doigt et sa main se pressent fort sur mon sexe, l’écrase de la paume, l’écarte de ses doigts. Sa main s’ouvre et se ferme, paume plaquée à mon mont de Vénus, doigts durs qui s’ouvrent et qui bougent, m’emprisonnent, Son doigt s’arrache à ma bouche, descend sur mon menton, mon cou, glisse sous le satin, la main empaume mon sein, aussi léger et caressant que l’autre est rude et dur. Mes reins se creusent, mon torse monte au-devant de ce lien qui nous unit mais qui s’échappe, mes seins attendent douloureusement le même écrasement que mon sexe. Dans un grand mouvement tournant elle ouvre mes grands les lèvres, me tient béante, accélère. Un éclatement et je jouis à longs élancements accompagnant ses doigts, mon ventre secoué de saccades, mes cuisses se referment très fort sur sa main coinçant sa rotation à la limite de la douleur, se fait plus léger, s’arrête, lutte entre mes cuisses qui en les resserrant l’emprisonne pour faire partie intégrante de moi. Je me redresse et me serre contre elle, haletante comme après une folle course, couverte de sueur comme après un hammam. La tension se relâche par vagues moins aiguës et plus profondes, mon souffle s’apaise, mes muscles se détendent, les contractions s’espacent. Je colle mes lèvres au creux de son cou, lui donne de petits baisers mouillés. Je ...