1. La soirée


    Datte: 24/11/2017, Catégories: fh, amour, fsoumise, Oral pénétratio, ecriv_f,

    Pendant un instant, une minute ou peut-être dix, nous restons collés l’un à l’autre. Ses cuisses tremblent, la force de son plaisir a été tellement intense… Je couvre son cou et son visage de petits baisers, elle semble amusée. — J’ai réservé une chambre dans un hôtel. Tu as des projets pour cette nuit ? Mon sourire vaut toutes les réponses du monde. — D’ailleurs, si tu pouvais m’y amener, j’aimerais prendre une douche et me changer avant de retrouver les mariés. Nous rajustons nos vêtements et prenons à nouveau place à l’avant de la voiture. Tout s’est passé si vite, que je n’ai même pas pris le temps de vous décrire ma Violine. Brune, les cheveux courts, les yeux marrons (yeux de cochons, je ne vous le fais pas dire…!!), des formes généreuses, sans excès, elle doit mesurer environ 1m65. Ce que j’aime chez elle, c’est qu’elle a toujours le sourire, les yeux pétillants de malice et ne craint pas les nouvelles expériences. Oui, aussi, je reconnais, ses seins, aussi… Là, vous êtes contents ?? Comment vous dire… Ma main ne suffit pas à en tenir un entier, mais ce ne sont pas non plus des phénomènes de foire ! J’aime la douceur de la peau qui les recouvre, leur extrême sensibilité quand je les embrasse, les sentir durcir au contact de ma langue… Mais là je crois que je m’égare. L’hôtel, situé à quelques mètres de la salle des noces, ressemble plus à une auberge de campagne qu’aux grandes chaînes d’hébergement qui envahissent nos belles régions. Au moins, ici, on trouve un ...
    ... accueil chaleureux, les chambres sont spacieuses et l’aspect historique de la vieille demeure lui donne un charme très agréable à l’œil. La chambre de Violine offre une belle vue sur la mer. Une cheminée ancienne, dont l’âtre a été condamné, prend une place considérable . Elle est surmontée d’une peinture représentant un paysage côtier sous la tempête. Un petit bouquet de fleurs séchées décore l’unique table de chevet. Autour des deux fenêtres, bien exposées au soleil à cette heure de la journée, ont été posés d’épais rideaux pourpres, assortis au couvre-lit. Le mobilier est rustique, un valet et deux chaises en bois le complètent. Violine est passée dans le cabinet de toilette. Cette pièce possède tout le nécessaire sauf de l’espace : un lavabo avec tablette et miroir, des toilettes et une cabine de douche. Violine a jeté tous ses vêtements à terre et j’entends déjà l’eau qui ruisselle le long de son corps. Je m’approche de la porte pour l’observer. — On regarde mais on ne touche pas, se dépêche t’elle de me dire, amusée— Arf, quel dommage !!— On verra si tu es sage! J’aperçois sur la tablette du lavabo, des produits qui me sont familiers : des huiles et des crèmes dont l’odeur me rappellent des souvenirs troublants de massages langoureux, à l’odeur de noix de coco, de vanille des îles ou d’amande douce. La crème glissait entre nos doigts et nous passions des soirées à caresser sensuellement la majeure partie de nos corps, titillant aux passages toutes nos zones érogènes. Je suis ...
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