1. Famille Vendue


    Datte: 24/11/2017, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,

    ... meilleur moyen de préserver les chances à long terme de sa famille. C'est donc en toute lucidité et par un immense effort de volonté qu'elle donnait soir après soir à ce quasi-vieillard les plaisirs les plus extrêmes et qu'elle acceptait d'avoir pour lui les complaisances les plus sales. Elle lui prostituait son corps magnifique dont elle veillait soigneusement à maintenir la beauté, se frottant à lui, l'embrassant le plus intimement, littéralement comme si sa vie en dépendait, et elle veillait toujours à son absolue satisfaction, l'invitant systématiquement à un nouveau rapport sexuel ou une nouvelle fantaisie jusqu'à ce que, fatigué, il décline et la faisait repartir dans ses quartiers. Le risque du fouet était naturellement aussi une autre très très bonne raison aux ardeurs qu'elle témoignait dans le lit de son maître Cela va sans dire... Réunies après les moments passés dans la chambre du maître, les deux femmes tentaient de se réconforter mutuellement comme elles le pouvaient. Maternelle, Evelyne prenait sa fille dans ses bras et l'aidait ainsi à s'endormir. Un soir elle dut faire face à une crise de désespoir, Charlene ne se pardonnant pas de s'être surprise à avoir un orgasme à l'issue d'une longue séance de prise en une profonde levrette par le maître. Evelyne dut mentir et lui affirmer qu'il s'agissait là d'une chose aussi naturelle et inévitable que la faim ou la soif, et que, elle aussi, en était déjà passée par là. Pieux mensonge, mais mensonge à demi seulement, ...
    ... Evelyne le savait, car son corps avait déjà été à deux doigts de la trahir, notamment du fait de la vicieuse modification apportée à son clitoris qui en était devenu hypersensible. Elle redoutait qu'un jour l'inévitable finisse par se produire effectivement. De toutes façons se disait-elle, il doit bien y avoir dans les armoires des pharmacies de ces pervers, les drogues ou les hormones appropriées pour que, si tel devenait le bon plaisir de leur propriétaire, plus rien ne puisse alors empêcher qu'elles soient contraintes de jouir à répétition, même parfaitement à leur corps défendant, et que le maître se fasse alors un spectacle de cette nouvelle étape de leur avilissement... Part 6 - Enculées. Chaque fois qu'elles se retrouvaient entre ses mains, le maître jouait à leur introduire un doigt dans l'anus. Rappel cruel de l'inévitable première sodomie dont lui seul déciderait du jour et de l'heure. Evelyne et Charlene y étaient résignées et en avaient parlé ensemble. Un sujet à propos duquel la mère ne pouvait, on l'a vu précédemment, pas enseigner grand-chose à sa fille... Le maître faisait durer l'attente. Sage, il savait progresser pas à pas dans la gradation des « jeux » sexuels qu'il imposait à ses deux acquisitions, les forçant à se prostituer dans une dépravation sans cesse croissante, les dépouillant soir après soir de leur innocence comme on pèle soigneusement un oignon. Il savait tirer d'elles chaque soir un plaisir nouveau, gérant habilement son capital pour en tirer ...
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