Famille Vendue
Datte: 24/11/2017,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur,
... avait confié à sa mère le lendemain que celui-ci ne l'avait prise, certes à plusieurs reprises, mais que par la bouche ou le cul. Apparemment, son sexe était « off-limit » pour l'invité cette nuit là. Le tonnerre des applaudissements et des hurlements de joie des spectateurs marqua la fin du « show », tout ce monde se leva a grand bruit et repartit joyeusement vers la grande salle à manger, laissant derrière les deux femmes fixées au sol comme deux animaux, la tête baissée et les fessées toujours dressées, contraintes de garder en elles le sperme issus du rut. John fut évacué d'un autre coté. La vieille asiatique les regarda longtemps avant de quitter en dernier les abords de la scène désertée. Evelyne fit alors dans sa tête la dernière connexion : les deux visites d'une sorte de gynécologue dans les dernières semaines, visites humiliantes auxquelles Charlene et elle avaient été soumises! Etait-il possible aujourd'hui le maître les ait forcées à...? On les maintint ainsi plus de deux heures, seules face à leur déchéance, les matrices humides du liquide séminal dont elles avaient été remplies. Au loin, les bruits de la fête parlaient de joie et le bonheur de vivre. Avec le dernier désespoir Evelyne tenta au moyen de contractions de ses parois intimes d'expulser d'elle-même le fluide fécondant, dans parvenir à rien. Rendues muettes par les boules de caoutchouc enfoncées dans leurs bouches, les deux femmes ne pouvaient rien communiquer et, tandis que Charlene suivait des yeux le ...
... corps de sa mère qu'elle voyait animé de convulsions auxquelles elle ne comprenait rien, Evelyne elle ne pouvait détacher son regard du ventre si plat de sa fille chérie... Part 9 -- Ton maître partout tu serviras... Le lendemain, Evelyne fut convoquée en pleine journée devant le maître Charlene et John, chacun la bouche pleine d'un gag, y avaient été menés eux aussi sous bonne garde. Aux cotes du maître, la vieille chinoise était assise dans un second fauteuil. Très calmement, un sourire ironique sur les lèvres, il leur fit part de sa décision : « Slave, you will be trusted to my beloved sister for the coming year. I expect you will serve her like you would for me if not better. And your offspring, if any, will belong to her." [Esclave, je te confie à ma chère sœur. J'attends que tu lui rendes les mêmes services qu'à moi-même, sinon mieux. Et le fruit de ton ventre, s'il y en a un, lui appartiendra à elle.] Le sans d'Evelyne se glaça. Cette salope là était donc sa sœur! Et le « fruit de mon ventre » : c'était donc vrai qu'il l'avait fait! Il l'avait fait... « In twelve months from now, you have my word that you will be reunited with your son and daughter. » [Dans douze mois d'ici, tu as ma parole que tu seras réunie avec ton fils et ta fille] Charlene s'effondra au sol en pleurant -- venait-elle seulement à l'instant de comprendre la raison des accouplements incestueux de la veille? -- tandis que John tanguait sur ses jambes, visiblement choqué. Les serviteurs firent un pas ...