1. Je remplace ma collègue Sophie (1)


    Datte: 25/11/2017, Catégories: Transexuels

    ... caresser la poitrine et me pincer les tétons. Tout à l’heure il m’avait provoqué une érection passagère, maintenant j’avais une grosse érection et j’étais en plus très réceptif à l’attention qu’il portait à mon poitrail. J’étais de plus en plus réceptif à ce qui me faisait, il s’en rendait compte et commençait à en abuser. — Sophie m’a dit que tu te laisserais faire et je ne pensais pas que ce serait à ce point. — C’est elle qui m’a dit qu’elle sentait un gros potentiel en toi et je suis en train de découvrir qu’elle ne se trompait pas. Maintenant il me caressait le visage ainsi que le cou, je trouvais ça très agréable, je me laissais faire. J’étais comme dans un état second et je ne réalisais toujours pas que cela allait mal tourner pour moi. Je l’ai entendu se tripoter le pantalon, pendant qu’il continuait à me caresser; j’avais vraiment la sensation de lui être offert. Maintenant il ne me caressait plus que d’une main, mais il continuait à me faire beaucoup d’effet, tous mes sens étaient en éveil et j’ai honte à le dire mais mon corps en entier attendait la venue de ses mains. En venant se mettre sur un de mes côtés, il m’a fait tourner la tête et je n’ai pas eu le temps de réaliser; je me retrouvai nez à nez avec son sexe. J’ai voulu rouspéter mais l’instant d’après j’avais la bouche pleine de sa colonne de chair, il me tenait la tête maintenant j’étais à lui. Je n’avais pas trop le choix, je ne faisais maintenant que subir subir le va-et-vient de son sexe dans ma ...
    ... bouche, subir les désirs de mon chef à mon égard; en une demi-heure je venais de devenir son objet sexuel. J’ai voulu m’éloigner en m’appuyant sur ses cuisses, mais il s’est retiré de moi en me collant une grande claque il m’a mis les larmes aux yeux puis il m’a recollé son pieu dans la bouche. Gilles m’avait vaincu et il était en train de me baiser dans sa garçonnière, là où en général, il s’occupait de ses maîtresses. Son sexe visitait ma cavité buccale, que ce soit contre mon palais, mes dents, ma langue; il n’y avait pas un endroit où il n’était pas passé. Tout comme avec ma femme, je ne faisais que subir les va et vient de mon patron dans ma bouche. Au début, le goût était un peu fort mais, au bout de quelques minutes c’est parti; par contre maintenant j’avais l’odeur de son sexe et ce n’était pas pour me déplaire. J’étais en train de réaliser que ce que je subissais, Marie subissait la même chose de ma part quand elle me faisait une turlutte. La différence c’est que quand ma femme me la faisait, là encore je subissais c’est elle qui dirigeait les opérations. J’étais là dans la garçonnière de mon patron, en train de lui faire une pipe et je ne trouvais rien à redire. J’étais en train de me dire que quand Sophie ou les clientes de Gilles venaient là, elles devaient subir le même sort. Je comprenais mieux pourquoi ma collègue m’avait dit de bien la remplacer avant de partir en vacances. Et là je ne sais pas ce qui m’a pris, je me suis mis à m’impliquer, ma langue est partie à la ...
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