L'arrivée de Clémence
Datte: 25/11/2017,
Catégories:
fh,
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... définitifs, je continuais de travailler Hélène « au corps » pour une petite séance à trois avec Nicole. Je découvris d’ailleurs que cette dernière entretenait l’incendie qui lui ravageait les fesses de différentes manières, toutes plus imaginatives les unes que les autres. Je remarquais qu’elle se faisait régulièrement livrer des frigos énormes, des matelas, des machines à laver, machines qu’elle renvoyait après les avoir essayées, ainsi que les livreurs qui les lui avaient montées dans son appartement… et leurs collègues qui venaient les rechercher. Un soir, après lui avoir labouré son joli derrière pendant une vingtaine de minutes (elle jouissait étonnamment plus fort quand elle se faisait prendre par derrière m’avoua-t-elle), je remarquai de nombreuses boîtes de pizzas à peine entamées dans sa cuisine. J’en déduisis qu’elle ne dédaignait pas de consommer des livreurs plus jeunes. Je lui avouai d’ailleurs que j’avais peur que sa lubie la fasse un jour quitter son appartement juste pour le plaisir d’essayer une équipe entière de déménageurs. Elle me répondit qu’elle avait déjà essayé mais que l’amour à plus de trois l’empêchait de se concentrer sur ce qu’elle faisait. Je lui montrais également les photos d’Hélène et ma proposition d’une petite séance à trois l’enchanta tout de suite, démontrant une fois de plus son ouverture (d’esprit, vous l’aurez toutes et tous compris). Un matin, alors qu’Hélène quittait l’appartement de sa fille, Nicole sortit vêtue de la robe de ...
... chambre qu’elle portait la première fois que je l’avais vue et l’ouvrit tout simplement devant Hélène qui, toujours hésitante, se retira en courant chez elle, le souffle court et l’entrejambe sans doute emperlé d’une humidité qu’elle se refusait d’accepter. Camille, dont sa mère ignorait complètement la gourmandise débridée, se faisait désirer, comme si elle se voulait rare et insaisissable. Je ne pus la coucher contre moi que trois fois en un mois et demi. Elle m’avoua qu’elle était à l’heure actuelle occupée par trois liaisons : une avec son jeune professeur de français, une autre avec « Gérard », le voisin du quatrième, à qui elle et Marie avaient emprunté le prénom pour baptiser leur gode-ceinture en raison de ses impressionnantes proportions, et la troisième enfin avec… la pharmacienne du bout de la rue, qui d’après Camille avait les seins les plus doux qu’elle ait jamais pris dans sa bouche. Marie quand à elle devint peu à peu ma préférée. La douce perversité de son regard m’enflammait le corps et l’esprit et je passais de nombreuses soirées à la butiner et à la lutiner dans tous les endroits possibles. Nous cochions sur un plan d’évacuation de l’immeuble arraché à un couloir les différents appartements dont les clefs de sa mère nous offraient l’accès. Elle fut impressionnée par la collection de godemichés que j’avais fait acheter à Hélène et je fis moi-même l’étonné. Nous fîmes le serment de les essayer un par un. Certains d’entre eux possédaient deux extrémités et étaient ...