1. Un alibi crapuleux (1)


    Datte: 25/11/2017, Catégories: Trash,

    ... Elle habite au 20 rue Mirabeau… » Rien n’aurait pu m’en empêcher, je lui collais une beigne. « Tu mens connard ! Tu mens ! Avoue que tu mens ! — Vous manquez vraiment de confiance en moi, c’est triste… Alors c’est vous Monsieur Barval ? C’est vous le cocu ? Vous ne saviez vraiment pas que votre femme et votre fille étaient des putes ? Je trouve que pour un flic, vous manquez d’intuition. — Mais je vais te tuer, connard, je vais te tuer, tu entends !? » Sandrine me retenait alors que j’essayais de frapper cette ordure. Il ne pouvait pas dire la vérité… Ma femme… ma fille… C’était impossible. Pendant que je bossais, elles auraient… Je ne pouvais pas le croire, je finis par me calmer. Tout ça était faux évidemment. Pas besoin de paniquer. Toutes ses conneries allaient s’effondrer rapidement d’elles-mêmes, ce n’était que du vent. Je finis par me rasseoir : « Très bien, on leur demandera si vous étiez avec elles cette nuit… c’est donc ça votre alibi... — Oui. Enfin il est un peu plus solide que ça. Aucune femme n’avoue tromper son mari pour sauver son amant… Du moins pas une salope comme votre femme, si vous permettez. Par contre, vous savez ce que ce genre de pétasse adore ? C’est de se faire filmer pendant qu’elle se fait enculer… Vous avez mon téléphone à côté de vous, dans le carton sur la table, si vous voulez bien l’allumer… » J’essayais de garder mon sang-froid, c’est Sandrine qui se chargea d’allumer l’appareil. Patrick finissait de donner ses explications pendant ce ...
    ... temps : « La date de la création de la vidéo est indiquée dessus… Mais s’il y a encore des doutes, il y avait la radio d’allumée… j’aime baiser en musique, ça me dynamise. Et comme ça, vous n’aurez qu’à consulter la playlist de la station pour vous assurer qu’à onze heures du soir je ramonais copieusement votre femme… C’est drôle quand on y pense. D’habitude, l’amant cherche à prouver qu’il ne baise pas la femme du pauvre con de cocu ; et là, c’est l’inverse... Oh ? Ça ne vous fait pas rire ? » Je restais sans bouger, le visage impassible à grincer des dents. Je vis Sandrine mettre en route une vidéo. Des "Hiiin !" et des "Ôoo !" en sortaient. Je ne pus résister et lui pris le portable des mains. Tout ce qu’il avait dit était exact, il était sur son lit, à baiser ma femme en levrette, comme une chienne. Elle avait l’air d’aimer ça… À chaque coup rein elle gémissait comme si elle était en extase. Mais le pire arriva au bout de deux minutes, deux minutes pendant lesquelles je sentis mes cheveux blanchir. J’entendis soudain ma fille dire : « Maman, tu en as assez profité, on échange ? » Là-dessus, je vis ma femme se lever et prendre le téléphone, puis ma fille entrer dans le cadre et commencer à sucer la bite de l’enfoiré. Ma fille, nue. Puis elle monta sur le lit et écarta les jambes pour que le vieux pervers s’enfonce dans sa chatte. Il la besognait comme si c’était naturel, alors qu’il avait quarante ans de plus. Il lui pelotait les nichons, lui criait des insultes au visage, la ...
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