-
Le trou dans la poche.
Datte: 20/05/2020, Catégories: Gay Vos histoires
J'avais quinze ans et je n'arrêtais pas de me masturber. Tout était prétexte pour m'absenter et j'allais aux toilettes pour me caresser. J'avais décousu le fond de ma poche et en passant ma main je pouvais accéder à mon objet de plaisir. En regardant la télé, au cinéma, dans les salles d'attente ; je plongeais ma main dans ma poche et je me caressais. Les endroits les plus insolites m'excitaient au plus haut point. Un jour, un copain avait remarqué mon manège et épiais tous mes gestes, à mon insu. Il m'accompagna au ciné, laissa se dérouler le début du film puis attendant de voir la bosse de mon pantalon dans la pénombre, en profita pour glisser sa propre main dans ma poche. j'ai voulu le repousser mais il insista fermement du bout de ses doigts attrapa le bout de ma queue. Il fit ressortir mon sexe par cette ouverture et peu à peu retroussa cette poche pour découvrir mon membre tendu. Il me tritura mon gland en insistant sur le frein. La séance dura un long moment, le film ne nous intéressait plus et le copain profita que la rangée se vida pour se pencher et aspirer ma tige chaude. Oh, ce que j'ai aimé ce premier contact et cette bouche bouillante gober mon sexe. Je me laissais faire, il prenait tout son temps alternant suces et coups de langue : il allait et venait se foutant éperdument du ...
... reste de la salle qui devait deviner ce que nous faisions. Tout le monde pouvait voir la tête du garçon monter ou descendre entre les fauteuils. Je finis par lâcher plusieurs saccades de sperme dans sa bouche. Il me pompa jusqu'à la dernière goutte. Il se redressa après s'être rassasié en s'essuyant la commissure des lèvres avec ses doigts. Puis, il déboutonna son jean' et ressorti son sexe bandant qu'il décalotta, m’exhibant son gros membre et m'invitant à lui donner du plaisir. D'une main je saisis son machin chaud et bien tendu et je commençais à le secouer. Il avait passé son bras derrière mes épaules et me caressait. Puis son bras me tira vers lui, m"obligeant à me baisser. En me pliant ma bouche arriva sur le bout de son gland rond et ferme. Je débutait en léchant le méat puis j'ouvris grand la bouche pour happer ce membre turgescent. Je commençais à le pomper doucement tout en le branlant. Plusieurs fois, il me chuchota d'aller doucement mais j'étais trop excité et continuais ma suce. Il finit, à son tour par faire cracher sa queue d'un bon sperme onctueux que j'avalais avec plaisir. Plusieurs fois par jour, nous nous faisions signe pour annoncer que l'on était prêt pour un séance de pompage. Jamais l'un ou l'autre avons refusé ces moments pleins de jouissance et somme toute éreintants.
«1»